Les avocats de l’ancien président égyptien Hosni Moubarak ont plaidé samedi matin en son nom non coupable des accusations de complicité dans la mort de manifestants, lors d’une nouvelle audience du procès.
La cour criminelle du Caire a entendu les plaidoiries des avocats de la défense avant de lever l’audience, la quatrième dans ce nouveau procès, retransmise en direct à la télévision d’Etat.
L’ancien président, âgé de 85 ans, était présent dans le box grillagé avec les autres accusés, portant des lunettes noires et la tenue blanche des détenus.
M. Moubarak est jugé avec ses fils Alaa et Gamal pour corruption et avec d’autres anciens responsables de sécurité pour complicité de meurtre de manifestants lors de la révolte qui a provoqué sa chute en février 2011
Cette nouvelle audience intervient sur fond de tensions dans le pays, après un coup militaire qui a renversé le successeur de M. Moubarak, l’islamiste Mohamed Morsi, à la suite de manifestations monstres.
Un premier procès avait abouti en juin 2012 à une condamnation à la réclusion à perpétuité pour l’ancien président, mais la Cour de cassation a ordonné un nouveau procès, qui a commencé le 11 mai.
La révolte de début 2011 a fait près de 850 morts, selon des chiffres officiels.
afp
La cour criminelle du Caire a entendu les plaidoiries des avocats de la défense avant de lever l’audience, la quatrième dans ce nouveau procès, retransmise en direct à la télévision d’Etat.
L’ancien président, âgé de 85 ans, était présent dans le box grillagé avec les autres accusés, portant des lunettes noires et la tenue blanche des détenus.
M. Moubarak est jugé avec ses fils Alaa et Gamal pour corruption et avec d’autres anciens responsables de sécurité pour complicité de meurtre de manifestants lors de la révolte qui a provoqué sa chute en février 2011
Cette nouvelle audience intervient sur fond de tensions dans le pays, après un coup militaire qui a renversé le successeur de M. Moubarak, l’islamiste Mohamed Morsi, à la suite de manifestations monstres.
Un premier procès avait abouti en juin 2012 à une condamnation à la réclusion à perpétuité pour l’ancien président, mais la Cour de cassation a ordonné un nouveau procès, qui a commencé le 11 mai.
La révolte de début 2011 a fait près de 850 morts, selon des chiffres officiels.
afp