mardi, octobre 15, 2024
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Du football à la politique

Du football à la politique
Présentation du Parti que j’ai créé avec des amis ivoiriens en 2002 dénommé  Mouvement Ecologique Ivoirien, il a pour but de promouvoir l’écologie sur toute l’étendue du territoire Ivoirien en harmonie avec la charte mondiale des Verts dont il s’inspire et qui lui sert de ligne directrice. Nous nous engageons à défendre politiquement, économiquement, socialement les intérêts du peuple de Côte d’Ivoire dans un environnement sain et durable.
Pour y parvenir, le parti s’appuiera sur la mobilisation de tous et de la jeunesse ivoirienne en particulier, enfin de porter le débat à la connaissance du peuple.
Dans l’intérêt du pays le Mouvement Ecologique Ivoirien s’engage à nouer de solides relations nationales et internationales avec des organisations partageant ses sensibilités (partis politiques, associations etc…)
Notre objectif principal comme tout parti  qui se respecte est d’aller à la conquête du pouvoir en Côte d’ivoire en constituant des listes de candidature à toutes les élections sur la base d’une plate-forme économique préalablement définie et présentée au peuple Ivoirien .
Je suis le président fondateur SIKELY Jean Désiré né le 27 janvier 1951 à Grand-Lahou Ex footballeur pro et actuellement agent de joueur, je suis entre Abidjan et Marseille. 
Notre pays comme la plupart des autres, traverse une vraie crise de la politique, c’est à dire un moment où il faut faire des choix, les réunions politiques ne rassemblent que des publics clairsemés, les effectifs des partis se délitent et la méfiance domine.
Les « affaires » dans lesquelles ont été compromis un certain nombre de responsables politiques expliquent  sans doute, en parti,  cette désaffection. Expliquant qu’il n’y avait pas d’autre politique possible que  l’accompagnement du libéralisme économique et de la mondialisation financière, ignorant l’aspiration des citoyens à un environnement sain, abandonnant les pauvres à leur sort au nom du réalisme et du respect des grands équilibres ils ont contribué à installer dans l’opinion publique, et particulièrement dans l’esprit des couches les plus populaires, l’idée selon laquelle la droite et la gauche, c’était bonnet blanc et blanc bonnet. Nous les verts ne faisons pas comme si cette crise n’existait pas, mais nous voulons contribuer à ce qu’elle soit surmontée parce qu’il n’y a pas de démocratie si les citoyens ne se regroupent pas pour débattre, agir et se faire entendre. Si nous ne le faisons pas tous ensemble, alors seuls les intérêts économiques qui eux sont organisés et actifs, prévaudraient, et puis il n’y a tout simplement pas d’avenir pour nos sociétés si nous ne le construisons pas ensemble.
Aujourd’hui, relever les défis de l’unité de la réconciliation et de la reconstruction. Sachez que la réconciliation nationale est d’une importance capitale pour le pays dans la mesure ou celle-ci pourra nous garantir une paix durable. Que le Président ADO crée juste les conditions équitables de partage de nos richesses et  la pauvreté grandissante disparaîtra.
Aidons- le à canaliser les ardeurs politiques des uns et des autres et nous verrons tous le bonheur à nos portes.
Vous savez le monde étant en perpétuelle mutation, seuls seront capables de survivre et de vivre des peuples qui sauront faire preuve non seulement d’imagination créative mais aussi et surtout d’un dynamisme sage et dans beaucoup de domaines.
C’est un penseur éminent André Malraux qui disait déjà «  que la vie ce n’est pas un but, c’est un mouvement et la politique n’échappe point à cette règle. »
Nous avons l’espoir que l’actuel président de la République saura conduire notre pays dans tous les mouvements et dans tous les combats. Le combat du développement économique,
Le combat du progrès social, le combat de la démocratie pour le rayonnement de la Côte d’Ivoire en Afrique et dans le monde.
Les sacrifices ne sont pas réservés au peuple. Lorsqu’on crée seul ou avec d’autres personnes un parti politique, c’est pour la conquête du pouvoir d’Etat. Mais une fois parvenu au pouvoir qu’est-ce qu’on ambitionne de faire?  Certains peuvent se servir de ce pouvoir pour s’enrichir (c’est ce que le sociologue allemand Max Weber appelle « vivre du pouvoir » et écraser ceux qui ne pensent pas comme eux. La politique devient alors un instrument d’enrichissement et de domination. Pour d’autres personnes, la conquête du pouvoir n’est qu’une étape, la finalité de leur combat étant d’apporter un peu de bonheur à leurs concitoyens, c’est à dire leur permettre de manger à leur faim, se soigner, s’instruire, penser, s’exprimer, voyager etc… Qui conque est privé de ces droits élémentaires ne peut prétendre être libre. En ce sens l’Indien Amartye prix Nobel d’économie 1998, a raison d’affirmer que la politique permet la construction des conditions de liberté car on a tendance à l’oublier, la politique est l’art du possible.
Je suis d’avis qu’on ne demande pas aux politiciens des choses impossibles, qu’ils doivent être à l’abri du besoin afin de mieux se consacrer à leurs tâches. En regardant le train de vie qu’ils mènent et les avantages matériels de toutes sortes qui sont les leurs , alors qu’ils ne cessent de dire que les populations souffrent et que certains d’entre eux se présentent comme de gauche et issus de familles pauvres, on se demande cependant si on a encore affaire à des serviteurs de l’Etat. Je sais que vous me demanderez où je veux en venir. Je vous répondrai simplement ceci: du fait que la politique n’a pas d’autres finalité que le service de tous (l’ensemble des ethnies, des partis politiques, des religions, des couches sociales etc…) ce que je veux dire en deux mots, c’est qu’on n’entre pas en politique pour  servir uniquement sa famille, son village, son ethnie, sa formation politique, sa religion mais tout le monde. Ce service universel qui fait la grandeur et la la beauté de la politique. Maires, députés, ministres, chefs d’Etat sont appelés ni à se servir du peuple pour gagner ceci ou cela ni à l’asservir. Ceux qui légitimement aspirent à faire fortune peuvent exercer un autre métier que la politique.
Sur cette base, il n’est pas exagéré de dire que le peuple est l’employeur et les politiciens, les employés. Si le peuple est l’employeur, il n’est donc pas normal qu’il croupisse dans la misère
Pendant que ceux qu’il emploie ou qui sont à son service se la coulent douce, se nourrissant de caviar et de champagne, bref vivant dans le luxe et le gaspillage.
Par notre engagement et notre implication totale donnons des réponses et surtout des solutions de toutes ces familles qui malgré les souffrances vécues ont raison de croire en l’avenir d’une Côte d’Ivoire, nouvelle, une Côte d’Ivoire réconciliée et développée.
 
 SIKELY Jean Désiré
Pour Diasporas-News
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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