
« Il est impossible de prévoir dans la situation actuelle ce qui va arriver au lendemain de la chute de Bachar al-Assad », a-t-il ajouté, au moment où le régime Assad est confronté depuis la mi-mars à un mouvement de contestation populaire sans précédent qu’il réprime dans le sang.
M. Barak, un proche du Premier ministre Benjamin Netanyahu, avait récemment estimé que « la chute d’Assad serait une bénédiction pour le Proche-Orient ».
Israël s’inquiète de l’instabilité de la situation en Syrie en raison notamment du contentieux sur le plateau stratégique du Golan occupé par Israël depuis 1967 et annexé en 1981. Quelque 20.000 colons israéliens s’y sont installés alors que Damas exige la restitution intégrale du Golan pour faire la paix avec Israël.
AFP