Le frère du Tunisien Mohamed Bouazizi, récompensé jeudi à titre posthume par le prestigieux Prix Sakharov du Parlement européen, a dédié cette récompense « au peuple tunisien ». « Je suis très très content, j’offre ce prix au peuple tunisien qui a réussi sa révolution et qui a continué à s’exprimer lors des élections » du 23 octobre, a déclaré à l’AFP Salem Bouazizi.
« Ce prix est une reconnaissance internationale pour le rôle de Mohamed Bouazizi dans la révolution tunisienne », a-t-il ajouté.
Le Parlement européen a décerné jeudi son Prix Sakharov pour la liberté de l’esprit à cinq militants du Printemps arabe, selon une source parlementaire.
Les lauréats sont Mohamed Bouazizi, la militante égyptienne Asmaa Mahfouz, le dissident libyen Ahmed al-Zubair Ahmed al-Sanusi, l’avocate syrienne Razan Zeitouneh et le caricaturiste syrien Ali Farzat, a précisé cette source.
Mohamed Bouazizi, qui s’est immolé par le feu le 17 décembre 2010 à Sidi Bouzid, est décédé deux semaines plus tard. Son geste désespéré a déclenché un large mouvement populaire qui a mené à la chute du régime de Ben Ali et aux premières élections du « printemps arabe », dimanche 23 octobre.
« Ce prix est une reconnaissance internationale pour le rôle de Mohamed Bouazizi dans la révolution tunisienne », a-t-il ajouté.
Le Parlement européen a décerné jeudi son Prix Sakharov pour la liberté de l’esprit à cinq militants du Printemps arabe, selon une source parlementaire.
Les lauréats sont Mohamed Bouazizi, la militante égyptienne Asmaa Mahfouz, le dissident libyen Ahmed al-Zubair Ahmed al-Sanusi, l’avocate syrienne Razan Zeitouneh et le caricaturiste syrien Ali Farzat, a précisé cette source.
Mohamed Bouazizi, qui s’est immolé par le feu le 17 décembre 2010 à Sidi Bouzid, est décédé deux semaines plus tard. Son geste désespéré a déclenché un large mouvement populaire qui a mené à la chute du régime de Ben Ali et aux premières élections du « printemps arabe », dimanche 23 octobre.
AFP