octobre ont annoncé s’être retirés de Bria (centre) et demandent une aide humanitaire pour les populations déplacées après des combats ayant fait 50 morts, a appris l’AFP lundi auprès de leurs dirigeants. Selon Mahamat Zakaria, porte-parole de Abdoulaye Hissène, chef de la CPJP (La convention des patriotes pour la justice et la paix, rébellion), a retiré tous ses hommes de la ville Bria et les a cantonnés à 65 kilomètres (…) la CPJP est en train de respecter les principaux points de l’accord qu’elle a signé avec l’UFDR (Union des forces démocratiques pour le rassemblement, ex-rébellion) qui prévoient ce retrait dans un délai de huit jours ».
« Maintenant qu’un accord a été signé, l’UFDR qui n’attendait que le désarmement, a retiré ses hommes de Bria pour les ramener dans ses campements à Birao (nord) pour qu’ils soient désarmés », a affirmé pour sa part Gontran Djolo Ahaba, membres de l’UFDR.
« La CPJP demande aux ONG humanitaires de venir au secours des populations de Bria et surtout des déplacés de Bambari, Ippy, Ouadda, Yalinga, en leur apportant des habits, des chaussures, des vivres et des soins », a affirmé Mahamat Zakaria.
« Pour l’instant, la CPJP est disposée à amener ses combattants au désarmement et nous en appelons aux autorités pour qu’elles activent le processus afin que cessent définitivement les hostilités », a encore affirmé le porte-parole du chef de la CPJP.
Selon une source militaire à Bria « les combattants des deux groupes armés rivaux ont commencé à se retirer de la ville deux à trois jours exactement après la signature de l’accord de cessez-le-feu ».
De source préfectorale, environ 4.500 personnes ont fui la région de Bria (centre de la Centrafrique) en raison des combats. « Démunies de moyens, elles attendent « des secours humanitaires », a précisé cette source.
Les deux groupes constitués d’ethnies rivales, Ronga pour la CPJP, Goula pour l’UFDR, en conflit depuis plusieurs années, notamment pour le contrôle du diamant.
« Maintenant qu’un accord a été signé, l’UFDR qui n’attendait que le désarmement, a retiré ses hommes de Bria pour les ramener dans ses campements à Birao (nord) pour qu’ils soient désarmés », a affirmé pour sa part Gontran Djolo Ahaba, membres de l’UFDR.
« La CPJP demande aux ONG humanitaires de venir au secours des populations de Bria et surtout des déplacés de Bambari, Ippy, Ouadda, Yalinga, en leur apportant des habits, des chaussures, des vivres et des soins », a affirmé Mahamat Zakaria.
« Pour l’instant, la CPJP est disposée à amener ses combattants au désarmement et nous en appelons aux autorités pour qu’elles activent le processus afin que cessent définitivement les hostilités », a encore affirmé le porte-parole du chef de la CPJP.
Selon une source militaire à Bria « les combattants des deux groupes armés rivaux ont commencé à se retirer de la ville deux à trois jours exactement après la signature de l’accord de cessez-le-feu ».
De source préfectorale, environ 4.500 personnes ont fui la région de Bria (centre de la Centrafrique) en raison des combats. « Démunies de moyens, elles attendent « des secours humanitaires », a précisé cette source.
Les deux groupes constitués d’ethnies rivales, Ronga pour la CPJP, Goula pour l’UFDR, en conflit depuis plusieurs années, notamment pour le contrôle du diamant.
Diasporas-News —-AFP