
Mme Clinton s’exprimait quelques jours après le dépôt d’une demande d’adhésion d’un Etat de Palestine à l’ONU. Cette initiative a été condamnée par les Etats-Unis, qui y voient un acte "unilatéral" incapable de se substituer à des négociations entre Israéliens et Palestiniens.
La démarche palestinienne a été immédiatement suivie par une déclaration du Quartette pour le Proche-Orient (Etats-Unis, Russie, UE et ONU) offrant aux parties de reprendre le dialogue.
"S’il y avait un accord sur les frontières", a-t-elle plaidé, "il n’y aurait plus de débat sur les colonies, parce que tout le monde saurait quel côté de la frontière est pour la Palestine, et lequel pour Israël".
"Il n’y a pas d’alternative" à des négociations, a-t-elle insisté: "Nous devons demander instamment aux parties de laisser de côté leurs réticences et leur méfiance".
DIASPORAS-NEWS — AFP