
Les Guinéens commémorent ce 28 septembre le massacre, il y a deux ans, de quelque 150 opposants dans un stade de Conakry et célèbreNT l’anniversaire de l’indépendance, en 1958, de leur pays, ex-colonie française.
Une syndicaliste, qui a également souhaité rester anonyme, a pour sa part sa affirmé qu’au moment "où on nous abreuve de slogans de réconciliation, où il y a des prières organisées par les imams et les évêques, les forces de l’ordre sont en train de maltraiter la population".
Ces incidents, non confirmés de source officielle, surviennent au lendemain d’affrontements entre forces de l’ordre et opposants qui ont fait au moins deux morts et une quarantaine de blessés dans plusieurs quartiers de Conakry à la suite de l’interdiction d’un rassemblement de l’opposition.
DIASPORAS-NEWS — AFP