Un nouveau procès aura lieu dans l’affaire de la banque El Khalifa après que la Cour suprême eut accepté jeudi un pourvoi en cassation dans ce qui constitue l’un des plus grands scandales financiers de l’Algérie, selon l’un des avocats cité par l’agence APS. Me Bourayou Khaled a précisé que le nouveau procès aurait lieu sur la base du pourvoi introduit par la défense et le ministère public.
L’affaire qui sera rejugée concerne 50 accusés qui avaient été acquittés au premier procès El Khalifa en 2007 à Blida, à 50 km au sud-ouest d’Alger.
La défense, en l’occurence le liquidateur de la Banque -personnalité désignée par l’Etat- et la défense des personnes condamnées à plus de cinq ans se sont associées à la demande déposée par le parquet, a précisé à l’AFP une source judiciaire.
Les accusés jugés par contumace, dont Rafik Khalifa, patron du groupe qui porte son nom, n’ont pas le droit d’être rejugés, a-t-elle ajouté.
Le golden boy algérien a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité notamment pour « association de malfaiteurs, vol qualifié, détournement de fonds, faux et usage de faux » dans le cadre du procès de la Khalifa Bank dont il est le fondateur.
Le tribunal criminel de la Cour de justice de Blida (50 km au sud-ouest d’Alger) n’a pas encore fixé la date du nouveau procès.
Quatre-vingt-quatorze personnes avaient été jugées à Blida en 2007 notamment pour « association de malfaiteurs, vol qualifié, escroquerie, abus de confiance et falsification de documents officiels ».
L’Algérie a demandé à la Grande-Bretagne l’extradition du patron du groupe qui avait pris la fuite dès l’éclatement du scandale en 2003. Le banquier est toujours en Grande-Bretagne.
L’effondrement du groupe algérien, constitué autour d’une banque, d’une compagnie aérienne et de deux chaînes de télévision et employant 20.000 salariés en Algérie et en Europe, avait causé un préjudice estimé par des avocats entre 1,5 et 5 milliards de dollars à l’Etat et aux épargnants.
En France M. Khalifa était connu pour avoir sponsorisé l’équipe de football de l’OM, l’Olympic de Marseille, et pour les largesses dont il aurait fait bénéficier des personnalités.
L’ex-magnat algérien est également poursuivi à Versailles (ouest de Paris) pour banqueroute et détournement de fonds et la France a aussi demandé son extradition.
L’affaire qui sera rejugée concerne 50 accusés qui avaient été acquittés au premier procès El Khalifa en 2007 à Blida, à 50 km au sud-ouest d’Alger.
La défense, en l’occurence le liquidateur de la Banque -personnalité désignée par l’Etat- et la défense des personnes condamnées à plus de cinq ans se sont associées à la demande déposée par le parquet, a précisé à l’AFP une source judiciaire.
Les accusés jugés par contumace, dont Rafik Khalifa, patron du groupe qui porte son nom, n’ont pas le droit d’être rejugés, a-t-elle ajouté.
Le golden boy algérien a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité notamment pour « association de malfaiteurs, vol qualifié, détournement de fonds, faux et usage de faux » dans le cadre du procès de la Khalifa Bank dont il est le fondateur.
Le tribunal criminel de la Cour de justice de Blida (50 km au sud-ouest d’Alger) n’a pas encore fixé la date du nouveau procès.
Quatre-vingt-quatorze personnes avaient été jugées à Blida en 2007 notamment pour « association de malfaiteurs, vol qualifié, escroquerie, abus de confiance et falsification de documents officiels ».
L’Algérie a demandé à la Grande-Bretagne l’extradition du patron du groupe qui avait pris la fuite dès l’éclatement du scandale en 2003. Le banquier est toujours en Grande-Bretagne.
L’effondrement du groupe algérien, constitué autour d’une banque, d’une compagnie aérienne et de deux chaînes de télévision et employant 20.000 salariés en Algérie et en Europe, avait causé un préjudice estimé par des avocats entre 1,5 et 5 milliards de dollars à l’Etat et aux épargnants.
En France M. Khalifa était connu pour avoir sponsorisé l’équipe de football de l’OM, l’Olympic de Marseille, et pour les largesses dont il aurait fait bénéficier des personnalités.
L’ex-magnat algérien est également poursuivi à Versailles (ouest de Paris) pour banqueroute et détournement de fonds et la France a aussi demandé son extradition.
AFP