Omar el-Béchir est arrivé vers 15h00 locale (14h00 GMT) et a été accueilli à l’aéroport par son homologue tchadien qui a aussi accueilli personnellement les présidents centrafricain François Bozizé, béninois Boni Yayi, nigérien Mahamadou Issoufou, sénégalais Abdoulaye Wade, et burkinabé Blaise Compaoré.
D’autres chefs d’Etat sont attendus en soirée et lundi matin pour la cérémonie qui doit avoir lieu en fin de matinée.
Réélu au premier tour de l’élection du 25 avril (avec 83,59%) qui a été boycottée par l’opposition, le président Deby, arrivé au pouvoir par un coup de force en 1990, va entamer son 4e mandat de 5 ans après avoir été élu en 1996, 2001, 2006 lors de scrutins contestés.
Depuis janvier 2010, le Tchad et le Soudan se sont engagés dans un processus de normalisation de leurs relations après cinq ans de guerres par rébellions interposées. Leurs relations sont depuis au beau fixe.
Les deux pays ont mis en place des patrouilles communes à leur frontière et ont expulsé de leur pays les chefs rebelles luttant contre le régime voisin.
Omar el-Béchir est sous le coup de mandats d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour génocide, crimes contre l’humanité et crimes de guerre au Darfour. Son arrestation dépend de la bonne volonté des Etats qui n’ont l’obligation de l’arrêter que s’il transite par leur territoire.
Il s’était déjà rendu au Tchad à N’Djamena en juillet 2010 pour le sommet de la Communauté des Etats sahélo-sahariens (Cen-Sad) qui lui avait apporté leur soutien sur le dossier de la CPI.
Le conflit du Darfour a fait en sept ans 300.000 morts selon les estimations de l’ONU -10.000 d’après Khartoum- et 2,7 millions de déplacés.
D’autres chefs d’Etat sont attendus en soirée et lundi matin pour la cérémonie qui doit avoir lieu en fin de matinée.
Réélu au premier tour de l’élection du 25 avril (avec 83,59%) qui a été boycottée par l’opposition, le président Deby, arrivé au pouvoir par un coup de force en 1990, va entamer son 4e mandat de 5 ans après avoir été élu en 1996, 2001, 2006 lors de scrutins contestés.
Depuis janvier 2010, le Tchad et le Soudan se sont engagés dans un processus de normalisation de leurs relations après cinq ans de guerres par rébellions interposées. Leurs relations sont depuis au beau fixe.
Les deux pays ont mis en place des patrouilles communes à leur frontière et ont expulsé de leur pays les chefs rebelles luttant contre le régime voisin.
Omar el-Béchir est sous le coup de mandats d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour génocide, crimes contre l’humanité et crimes de guerre au Darfour. Son arrestation dépend de la bonne volonté des Etats qui n’ont l’obligation de l’arrêter que s’il transite par leur territoire.
Il s’était déjà rendu au Tchad à N’Djamena en juillet 2010 pour le sommet de la Communauté des Etats sahélo-sahariens (Cen-Sad) qui lui avait apporté leur soutien sur le dossier de la CPI.
Le conflit du Darfour a fait en sept ans 300.000 morts selon les estimations de l’ONU -10.000 d’après Khartoum- et 2,7 millions de déplacés.
Diasporas-News –AFP