Dix personnes ont été blessées mardi dans l’explosion d’une grenade dans le centre du Rwanda, a indiqué à l’AFP un porte-parole de la police, Theos Badege. « Nous ignorons pour le moment s’il s’agit d’une explosion accidentelle ou d’une attaque », a déclaré M. Badege, précisant que l’incident avait fait une dizaine de blessés mais aucun tué.
L’explosion a eu lieu en début de soirée dans le district rural de Muhanga (centre), le long d’une route et près d’une station de bus où des vendeurs ambulants proposaient des cartes de téléphone mobile.
Le Rwanda a été le théâtre de plusieurs attentats à la grenade ces dernières années.
Les autorités ont par le passé imputé ces attaques à la grenade aux rebelles hutu des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), basés en République démocratiques du Congo (RDC), et à d’anciens responsables en exil.
En juillet 2011 dans le sud-ouest du pays, une attaque de ce genre avait fait 21 blessés légers. Une autre attaque à la grenade avait causé la mort de deux personnes dans la capitale début janvier.
En 2010, année d’élection présidentielle, cinq personnes avaient perdu la vie dans des attentats de même nature à Kigali, jusqu’alors considérée comme une des capitales les plus sûres d’Afrique.
L’explosion a eu lieu en début de soirée dans le district rural de Muhanga (centre), le long d’une route et près d’une station de bus où des vendeurs ambulants proposaient des cartes de téléphone mobile.
Le Rwanda a été le théâtre de plusieurs attentats à la grenade ces dernières années.
Les autorités ont par le passé imputé ces attaques à la grenade aux rebelles hutu des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), basés en République démocratiques du Congo (RDC), et à d’anciens responsables en exil.
En juillet 2011 dans le sud-ouest du pays, une attaque de ce genre avait fait 21 blessés légers. Une autre attaque à la grenade avait causé la mort de deux personnes dans la capitale début janvier.
En 2010, année d’élection présidentielle, cinq personnes avaient perdu la vie dans des attentats de même nature à Kigali, jusqu’alors considérée comme une des capitales les plus sûres d’Afrique.
AFP