La justice du Burkina Faso a renvoyé à une date « ultérieure » le procès de 50 étudiants jugés mardi pour actes de vandalisme commis fin juillet à Ouagadougou lors d’une manifestation.
Ces étudiants sont poursuivis devant le Tribunal de grande instance (TGI) de Ouagadougou pour des « actes de vandalisme », de « destruction de véhicules » .
Ils sont également accusés de « coups et blessures volontaires sur des agents de la force publique » commis lors d’une protestation contre la fermeture des cités et restaurants universitaires pendant les vacances.
Plusieurs véhicules, la plupart appartenant à l’Etat avaient été incendiés et des policiers blessés lors de ces incidents.
Ces étudiants risquent jusqu’à trois ans de prison.
Des centaines d’étudiants s’étaient mobilisés pour assister à ce procès tenu sous haute surveillance sécuritaire.
Après plus de trois heures de délibérations, le tribunal a décidé de renvoyer l’affaire devant le Conseil constitutionnel, refusant toutefois d’accorder la liberté provisoire aux prévenus.
afp
Ces étudiants sont poursuivis devant le Tribunal de grande instance (TGI) de Ouagadougou pour des « actes de vandalisme », de « destruction de véhicules » .
Ils sont également accusés de « coups et blessures volontaires sur des agents de la force publique » commis lors d’une protestation contre la fermeture des cités et restaurants universitaires pendant les vacances.
Plusieurs véhicules, la plupart appartenant à l’Etat avaient été incendiés et des policiers blessés lors de ces incidents.
Ces étudiants risquent jusqu’à trois ans de prison.
Des centaines d’étudiants s’étaient mobilisés pour assister à ce procès tenu sous haute surveillance sécuritaire.
Après plus de trois heures de délibérations, le tribunal a décidé de renvoyer l’affaire devant le Conseil constitutionnel, refusant toutefois d’accorder la liberté provisoire aux prévenus.
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