Le candidat républicain Mitt Romney, probable adversaire de Barack Obama à la présidentielle américaine de novembre, a fait campagne lundi aux côtés du sénateur Marco Rubio, l’un de ses possibles choix pour le poste de vice-président. M. Romney, vainqueur quasi-assuré de la primaire républicaine depuis le retrait de son rival ultraconservateur Rick Santorum le 10 avril, a déjà orienté sa campagne contre le président démocrate sortant.
Il lui reste toutefois plusieurs élections primaires avant d’être désigné comme le candidat républicain investi lors de la convention nationale du parti à Tampa (Floride, sud-est) en août 2012.
Ainsi, M. Romney est apparu aux côtés de Marco Rubio lundi en Pennsylvanie (nord-est) où se tiendra une élection primaire mardi, en même temps que dans plusieurs autres Etats dont celui de New York.
« Je suis heureux d’être ici avec le prochain président des Etats-Unis », a dit le sénateur Rubio.
« J’ai hâte de faire partie de cet effort, et d’aider de toutes les façons que je peux pour montrer aux Américains le choix qu’ils ont entre la voie que nous suivons actuellement et la voie que nous devrions suivre », a-t-il ajouté.
Dimanche, M. Romney a fustigé la politique du président Obama en comparant le développement de l’étatisme à un cancer. « Ce président prend une direction dans laquelle le gouvernement devient de plus en plus présent et les métastases envahissent chaque aspect de la vie des Américains », a-t-il dit.
Outre M. Rubio, une poignée de candidats potentiels sont cités par la presse depuis plusieurs semaines, dont le sénateur Rob Portman, le gouverneur du New Jersey (est) Chris Christie ou encore le représentant Paul Ryan.
M. Rubio a dans un premier temps exclu de devenir le numéro deux de Mitt Romney, mais récemment, il a semblé laisser la porte ouverte à une telle perspective. Lundi, il a toutefois déclaré : « Je ne parle plus de ce processus ».
Interrogé par la presse lundi au sujet du processus de sélection du numéro deux pour son « ticket », M. Romney a répondu: « Nous n’avons pas eu de discussion encore sur une liste, ou sur l’évaluation de différents candidats ».
Le candidat républicain a chargé récemment sa conseillère Beth Myers de mener à bien cette tâche d’ici au mois d’août prochain.
Il lui reste toutefois plusieurs élections primaires avant d’être désigné comme le candidat républicain investi lors de la convention nationale du parti à Tampa (Floride, sud-est) en août 2012.
Ainsi, M. Romney est apparu aux côtés de Marco Rubio lundi en Pennsylvanie (nord-est) où se tiendra une élection primaire mardi, en même temps que dans plusieurs autres Etats dont celui de New York.
« Je suis heureux d’être ici avec le prochain président des Etats-Unis », a dit le sénateur Rubio.
« J’ai hâte de faire partie de cet effort, et d’aider de toutes les façons que je peux pour montrer aux Américains le choix qu’ils ont entre la voie que nous suivons actuellement et la voie que nous devrions suivre », a-t-il ajouté.
Dimanche, M. Romney a fustigé la politique du président Obama en comparant le développement de l’étatisme à un cancer. « Ce président prend une direction dans laquelle le gouvernement devient de plus en plus présent et les métastases envahissent chaque aspect de la vie des Américains », a-t-il dit.
Outre M. Rubio, une poignée de candidats potentiels sont cités par la presse depuis plusieurs semaines, dont le sénateur Rob Portman, le gouverneur du New Jersey (est) Chris Christie ou encore le représentant Paul Ryan.
M. Rubio a dans un premier temps exclu de devenir le numéro deux de Mitt Romney, mais récemment, il a semblé laisser la porte ouverte à une telle perspective. Lundi, il a toutefois déclaré : « Je ne parle plus de ce processus ».
Interrogé par la presse lundi au sujet du processus de sélection du numéro deux pour son « ticket », M. Romney a répondu: « Nous n’avons pas eu de discussion encore sur une liste, ou sur l’évaluation de différents candidats ».
Le candidat républicain a chargé récemment sa conseillère Beth Myers de mener à bien cette tâche d’ici au mois d’août prochain.
AFP