Sa bonne humeur est contagieuse et je suis contente de ma nouvelle héroïne et non de cette ringarde de Marine Le Pen, qui quant à elle a perdu de sa superbe ces temps-ci à la télé à force de faire une campagne basée uniquement sur le racisme. Grâce au droit décrété aux femmes de pouvoir voter en 1945, aujourd’hui nous pouvons choisir. Nous allons ainsi pour de bon nous débarrasser du déprimant sarko-system qui nous ronge depuis des années pour dire oui au changement. Oui, nous venons de loin. Les femmes se sont toujours battues pour leur droit. En 1857 une manifestation d’ouvrières Américaines du textile est boycottée et la date du 8 mars devient une légende. Cette date est proposée en 1910 lors de la conférence internationale des femmes socialistes à Copenhague mais c’est seulement à partir de 1917 avec la grève des femmes ouvrières de Saint-Pétersbourg que la tradition du 8 mars prend forme. En 1957, un siècle plus tard, le 8 mars devient la journée des femmes à New-York et finalement le 8 mars 1977 les Nations Unis officialisent la journée internationale des femmes.
C’est vrai, un seul jour ne suffit pas pour rendre hommages aux femmes mais ce jour est symbolique et tout le long de ce mois de mars nous allons fêter la femme et dire merci à la femme au foyer, à la femme à côté dans le lit, à la femme au boulot, à la femme mère, à la femme enfant, à celle qui élève seule les enfants et qui coure çà et là sur ses hauts talons pour satisfaire tout le monde. Cette femme qui quand elle rit avec son cœur l’on voit des perles dans ses yeux, celle qui pleure des fois d’avoir ri de rien et qui malgré le rire ne peut cacher la tristesse dans ses yeux. La femme qui pousse la poussette dans les rues et que personne ne remarque. Cette beauté cachée sous le voile du foulard du mal. Cette femme qui s’est battue et qui continue de se battre à ce jour pour gagner son pain et celui de la famille. Celle qui au village pile le mil, sème le riz et attend patiemment de le récolter. Cette autre qui vit en ville mais ne connait pas les joies de la citadine. Ma belle amie, Bintou, un enfant au dos, un fardeau sur la tête et cette belle bouche parée de dents blanches alignées correctement et ce regard franc de la femme émancipée consciente de sa condition. Oui, le bonheur est un choix. Mon cœur en ces moments va à l’endroit de cette sœur dans la rue. Peut-on parler de liberté lorsque l’on est obligé de troquer son corps contre 100 euro pour nourrir ses enfants ? Nous nous sommes-nous battues pour rien.
Avoir le choix est le signe essentiel de la liberté et la liberté s’exprime en ayant le choix de ne pas être une roue de secours dans aucune situation donnée. Restons libres et préservons le droit de nos principes car nous le valons bien. Si votre choix est basé sur la passion de la fièvre dans le lit, vous vous retrouverez avec un torchon qui vous descendra de votre piédestal de princesse et fera de vous une trainée. Évitez les abusifs, les alcooliques, les aventuriers, les accros, les bon à rien et surtout les menteurs compulsifs. Toute cette série d’hommes mène à la destruction car on finit bien par leur ressembler et au fil du temps l’on devient son propre ennemi à cause d’un mauvais choix. Protégez vos intérêts, votre santé et votre petit cœur à tout moment. La patience est un long chemin qui un jour débouchera sur de l’or. Sachez attendre le bon. Hommage à la sœur Whitney, une grande dame qui par amour est descendue a la poubelle. Que cela serve d’exemple aux novices. Je vous aime mes sœurs et sachez que grandir est de pouvoir dire non.
Les choses ont si bien changé que les hommes sont devenus des femmes et le frère se retourne sur lui-même dans le lit très tôt le matin alors que la femme s’apprête pour aller au travail. De nos jours c’est la femme qui porte le tablier bleu et avec cette touche qu’est la nôtre nous portons nos belles bottes de ce rouge vif et nous rions d’en être arrivées là.
FABULEUZ DIVASAND
‘’Life is what you make of it’’
C’est vrai, un seul jour ne suffit pas pour rendre hommages aux femmes mais ce jour est symbolique et tout le long de ce mois de mars nous allons fêter la femme et dire merci à la femme au foyer, à la femme à côté dans le lit, à la femme au boulot, à la femme mère, à la femme enfant, à celle qui élève seule les enfants et qui coure çà et là sur ses hauts talons pour satisfaire tout le monde. Cette femme qui quand elle rit avec son cœur l’on voit des perles dans ses yeux, celle qui pleure des fois d’avoir ri de rien et qui malgré le rire ne peut cacher la tristesse dans ses yeux. La femme qui pousse la poussette dans les rues et que personne ne remarque. Cette beauté cachée sous le voile du foulard du mal. Cette femme qui s’est battue et qui continue de se battre à ce jour pour gagner son pain et celui de la famille. Celle qui au village pile le mil, sème le riz et attend patiemment de le récolter. Cette autre qui vit en ville mais ne connait pas les joies de la citadine. Ma belle amie, Bintou, un enfant au dos, un fardeau sur la tête et cette belle bouche parée de dents blanches alignées correctement et ce regard franc de la femme émancipée consciente de sa condition. Oui, le bonheur est un choix. Mon cœur en ces moments va à l’endroit de cette sœur dans la rue. Peut-on parler de liberté lorsque l’on est obligé de troquer son corps contre 100 euro pour nourrir ses enfants ? Nous nous sommes-nous battues pour rien.
Avoir le choix est le signe essentiel de la liberté et la liberté s’exprime en ayant le choix de ne pas être une roue de secours dans aucune situation donnée. Restons libres et préservons le droit de nos principes car nous le valons bien. Si votre choix est basé sur la passion de la fièvre dans le lit, vous vous retrouverez avec un torchon qui vous descendra de votre piédestal de princesse et fera de vous une trainée. Évitez les abusifs, les alcooliques, les aventuriers, les accros, les bon à rien et surtout les menteurs compulsifs. Toute cette série d’hommes mène à la destruction car on finit bien par leur ressembler et au fil du temps l’on devient son propre ennemi à cause d’un mauvais choix. Protégez vos intérêts, votre santé et votre petit cœur à tout moment. La patience est un long chemin qui un jour débouchera sur de l’or. Sachez attendre le bon. Hommage à la sœur Whitney, une grande dame qui par amour est descendue a la poubelle. Que cela serve d’exemple aux novices. Je vous aime mes sœurs et sachez que grandir est de pouvoir dire non.
Les choses ont si bien changé que les hommes sont devenus des femmes et le frère se retourne sur lui-même dans le lit très tôt le matin alors que la femme s’apprête pour aller au travail. De nos jours c’est la femme qui porte le tablier bleu et avec cette touche qu’est la nôtre nous portons nos belles bottes de ce rouge vif et nous rions d’en être arrivées là.
FABULEUZ DIVASAND
‘’Life is what you make of it’’