A l’occasion de la journée mondiale consacrée à la femme Diasporas –news a décidé d’aller à la rencontre de certaines femmes qui de par leur travail et engagement contribuent à la promotion de la femme dans le monde . Notre attention a été singulièrement attirée par une dame qui a réussi à hisser les bijoux et accessoires de haute couture dans la classe des géants de la mode et du showbiz Américain. Elle se nomme Maryse Raymonde M’BO AKO. Arrivée aux Etats-Unis d’Amérique dans les années 92-93, MARYSE , communément connue sous le nom de Maye ( Ça m’appartient en Langue ATTIE de Côte d’Ivoire ) s’inscrit à L’internationale Académie de Design à Tampa dans l’état de Floride en spécialité FASHION Design.
Un stage de formation s’en suivra avec Erwin Pearl, créateur de bijoux à New York et à Atlanta, ou elle apprendra le métier dans toutes ces formes.
Après s’être spécialisée, MAYE décide de s’installer à son propre compte et crée son entreprise , MAYE FOR MARYSE FASHION AND ACCESSORIES ou « MAYE » sera sa marque de prestige ,se concentrant sur les bijoux et accessoires de mode en général .
Voici l’entretien qu’elle a accordé à Diasporas –News pour le plaisir de nos lecteurs !
Diasporas- News : Quelle est votre histoire et comment pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?
Maryse Raymonde M’BO AKO (Maye) : Je vous remercie, je suis créatrice d’accessoires de mode. Originaire de la Côte d’Ivoire je réside depuis près de vingt ans aux Etats-Unis d’Amérique précisément à ATLANTA.
Les bijoux et accessoires dans la culture Akan jouent un rôle majeur dans la beauté de la femme. Moi j’ai eu cette passion des bijoux depuis mon jeune âge.
Aujourd’hui je suis arrivée à réaliser mon ambition grâce un travail assidu et de la détermination. En collaboration avec un ami styliste de renom résidant à New-York je me suis engagée à participer aux semaines de mode américaine : New York Fashion Week et New York Africain Fashion Week et depuis ce jour je ne me suis plus arrêtée.
D-N : Etes-vous satisfaite d’avoir réalisé votre rêve ?
Maye : Absolument ! Je dirais oui, mais la satisfaction se trouve dans le faite de faire ce que l’on aime dans la vie, avec persévérance et consistance ; il est impossible que l’on ne puisse pas arriver au résultat et à l’objectif qu’on veut atteindre. Tout en restant humble (comme ma mère me le répète tous les jours) soi- même et continuer de travailler. Le monde de la mode est très demandant, la création et l’unicité de chacun des créateurs que nous sommes, est ce qui fait notre succès. Donc travail, travail…l’artiste ne s’arrête jamais de créer.
D-N : Sur quoi travaillez-vous et qui sont vos clients ?
Maye : Je produis des bijoux et accessoires de mode haute couture à base de différents matériaux.qui s’adaptent à tous styles et à tout genre. Ma culture de femme Africaine et Akan en particulier est un appui sur lequel repose mon inspiration tout en gardant une touche moderne et éthique de mode internationale. « Le large, le gros »est la tendance des bijoux sur la scène de la mode en ce moment. Ce qui concorde parfaitement avec l’héritage et le style de notre culture Africaine. Nous nous sommes engagés sur cette voie en restant très mode avec une touche de classe. Ce qui n’exclue pas que notre collection comprend des éléments pour tous les goûts : des bijoux plus petits en or par exemple. Il faut de tout pour faire un monde. Notre travail est de satisfaire chacune de ces belles femmes pour lesquelles nous avons opté de nous lancer dans cet arène. Nos pièces sont uniques. Ce qui m’encourage le plus c’est l’appréciation du produit Maye pas seulement aux Etats Unis mais aussi dans le reste du monde. Merci à tous et à mon créateur… Nos clients sont diversifiés. Aux états –unis en particulier, j’évolue dans le milieu de célébrités (show télévisés, stars de cinéma, chanteurs etc).Nous avons parés de nos accessoires Dondria, chanteuse de R&B, les sœurs Mary-Mary, Y’anna Crawley, Jessica Reedy des chanteuses de gospel par exemple…Avec la collaboration de J.Bolin Styliste des stars, Nicole Haris Parker, actrice. Pour les shows télévisés comme le Monique show, le Lexi show. Avec la chaine Américaine BET.., le concours Américaine de Gospel, Sunday Best avec Kirk Franklin et le Dove Awards. Ce qui nous fait le plus plaisir c’est notre dernière collaboration avec James Fortune star du Gospel américain et son épouse Cheryl. Si je peux arrêter sur ce ! Que de bénédictions…
D-N : On peut donc dire que MARYSE FASHION se porte bien ?
Maye : Nous sommes au travail et le plus important est de faire ce qu’on aime et de persévérer. Nos articles sont « design » pour chaque occasion et clientes en particulier selon leur demande. Soyez tranquilles mesdames, personne d’autre n’aura le même accessoire que Maye aura créé spécialement pour vous. Une ligne unique, pour femme élégante et stylée !
D-N : Le 08 mars est la journée internationale dédiée à la femme , qu’attendez-vous de cette journée ?
Maye : Une journée honorifique, journée sacrée. Selon moi c’est quelque chose d’une grande importance. Je crois que c’est une manière de montrer au monde que nous, les femmes existons et mettre l’accent sur notre importance dans la société humaine. Ne dit-on pas que « derrière un grand homme il y a une grande dame » la femme. Je dirai que dernière le monde il y a les femmes. Celles autour de qui tout tourne, qui supportent tout dans un foyer, c’est donc normal qu’elles soient honorées et célébrées mondialement une fois au moins.
D-N : Que pensez-vous
de la violence sous toutes ses formes faites aux femmes ?
Maye : Moi je dis Non, No, No, No à la violence sous toutes ses formes. Et je bannis de mon existence et de mon langage toute violence à l’encontre des femmes. Selon mes origines Ivoirienne et mon héritage Akan, la femme est le centre de sa famille et de son foyer. Elle est signe de création après Dieu également. Donc très précieuse à Dieu et à la communauté. Il existe dans ces sociétés ce qu’on appelle «matriarcat », qui trace la descendance de tout être de Dieu et de sa mère. Alors, allez – y comprendre quelque chose à ces hommes ou ces sociétés traditionnelles et même modernes qui bafouent les droits naturels voir la dignité de la femme, à la «rouler dans la boue » ou lui faire subir toutes sortes d’humiliations . Malédiction à celui qui porte main sur sa mère. On n’a pas besoin d’être africain pour le savoir. La loi de la nature s’applique à tout être vivant sur notre planète. Aux Etats Unis, la femme est d’une telle importance que la loi américaine la protège et la traite avec égalité et il n’y a pas de différence avec le sexe opposé. Pouvons-nous suivre cet exemple ? Un autre débat à ouvrir.
D-N : En tant que femme qu’est- ce que vous n’aimeriez pas qu’on vous fasse ?
Maye : Je n’aimerais pas que mon homme me marche » dessus » ou être traitée comme une « moins que rien » parce que je suis qualifiée de « sexe faible » Qualification que je n’adore certainement pas. En couple, en partenariat ou à quelque niveau que ce soit, le respect mutuel et la considération doivent primer. Certain diront que mon attitude ici met en exergue le fait que tout tourne autour de la femme. Est-elle le « centre de la terre » ? Je dis : « pourquoi pas » ? Réalité oblige.
D-N : Que pensez-vous de l’émancipation de la femme et de l’entreprenariat au féminin à ce millénium ?
Maye : La femme était au commencement de l’histoire et est l’avenir de ce monde. Elle est présente dans toutes les activités. La femme à l’instinct naturel de se lever très tôt le matin pour aller vendre, vaquer à ses occupations pour subvenir aux besoins de son foyer et de sa famille… Les femmes Africaines, selon moi, sont entreprenantes de naissance et de culture.. Il faudrait seulement que leurs actions soient soutenues et encouragées, elles jouent un rôle important dans le développement de notre belle Afrique. Je me souviens que ma grand-mère a été l’une des premières femmes entreprenante et à avoir eu un magasin de pagne au marché de Treichville (Abidjan). Il y a donc cette image de femmes entrepreneuses qui montrent leur détermination et leur capacité de réaliser quelque chose à tous les niveaux . Une chose est de savoir ce qu’on veut faire et être encouragé pour y arriver.
Il faut mettre les structures en place, localement, pour une aide mieux organisée .Mais aujourd’hui, nous, femme sommes à la tête de tout et dans tous les secteurs. Je ne commencerais même pas à citer des exemples. La liste sera tellement longue… on ne finira jamais.
D-N : Quel est le message que vous pouvez laisser aux femmes du monde entier qui vont vous lire ?
Maye : Je voudrais humblement inciter les femmes surtout de la Diaspora à se concentrer et ne pas abandonner leurs rêves, leurs ambitions. Avec beaucoup de détermination et de courage il n’est pas impossible de ne pas réussir nos projets, et impossible n’est pas FEMME ! Il faut travailler ensemble, en union, main dans la main, pour être plus fortes avec un esprit de solidarité dans toutes nos entreprises. Je tire mon chapeau à toutes ces femmes entreprenantes, rurales, modernes, … à travers le monde. L’AFRIQUE – LE MONDE A BESOIN ET COMPTE SUR NOUS .Nous somme le cœur de l’humanité et nous savons toutes le faire valoir. Vive la femme !
D-N : Êtes-vous un cœur à prendre ?
Maye : Rires…. Non, Pas du tout …Je suis aux enchères ou quoi ?
D-N : Avez-vous des projets pour l’Afrique ?
Maye : Oui je me prépare pour la présentation de nos produits en Afrique. Charité bien ordonnée commençant par soi-même, dans un premier temps, à Abidjan ma capitale adorée. Ensuite d’autres pays d’Afrique et d ’Europe. Mais la communication sera faite en temps opportun. Nous sommes au travail et ça sera donc très bientôt. Nous prenons notre temps vu notre amour pour un travail professionnaliste et une bonne organisation.
D-N : Au terme de cet entretien quel est votre dernier message ?
Maye : Je voudrais remercier la direction et l’équipe de Diasporas-news pour ce que vous faites pour la diaspora Africaine dans le monde. Votre travail contribue aussi à la promotion de la femme, parce que vous révélez tout haut au monde entier ce que nous faisons tout bas. Prospérité, bonheur et succès à l’ occasion de cette journée mondiale de la femme à toutes les femmes de votre équipe. Merci de votre travail d’expertes qui fait vivre pleinement ce Magazine.
Entretien réalisé RENE KOUAME (Italie).
* Photos par Markiss Moseley pour Envisions Photography
* Maquillage par Tamysha Tyson
Encadré :
Pour se procurer les produits Maye For Maryse, contactez- nous sur Facebook : Maye For Maryse Fashions and Accessories *All rights reserved*
Et aussi sur notre site : www.mayeformaryse.com
Un stage de formation s’en suivra avec Erwin Pearl, créateur de bijoux à New York et à Atlanta, ou elle apprendra le métier dans toutes ces formes.
Après s’être spécialisée, MAYE décide de s’installer à son propre compte et crée son entreprise , MAYE FOR MARYSE FASHION AND ACCESSORIES ou « MAYE » sera sa marque de prestige ,se concentrant sur les bijoux et accessoires de mode en général .
Voici l’entretien qu’elle a accordé à Diasporas –News pour le plaisir de nos lecteurs !
Diasporas- News : Quelle est votre histoire et comment pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?
Maryse Raymonde M’BO AKO (Maye) : Je vous remercie, je suis créatrice d’accessoires de mode. Originaire de la Côte d’Ivoire je réside depuis près de vingt ans aux Etats-Unis d’Amérique précisément à ATLANTA.
Les bijoux et accessoires dans la culture Akan jouent un rôle majeur dans la beauté de la femme. Moi j’ai eu cette passion des bijoux depuis mon jeune âge.
Aujourd’hui je suis arrivée à réaliser mon ambition grâce un travail assidu et de la détermination. En collaboration avec un ami styliste de renom résidant à New-York je me suis engagée à participer aux semaines de mode américaine : New York Fashion Week et New York Africain Fashion Week et depuis ce jour je ne me suis plus arrêtée.
D-N : Etes-vous satisfaite d’avoir réalisé votre rêve ?
Maye : Absolument ! Je dirais oui, mais la satisfaction se trouve dans le faite de faire ce que l’on aime dans la vie, avec persévérance et consistance ; il est impossible que l’on ne puisse pas arriver au résultat et à l’objectif qu’on veut atteindre. Tout en restant humble (comme ma mère me le répète tous les jours) soi- même et continuer de travailler. Le monde de la mode est très demandant, la création et l’unicité de chacun des créateurs que nous sommes, est ce qui fait notre succès. Donc travail, travail…l’artiste ne s’arrête jamais de créer.
D-N : Sur quoi travaillez-vous et qui sont vos clients ?
Maye : Je produis des bijoux et accessoires de mode haute couture à base de différents matériaux.qui s’adaptent à tous styles et à tout genre. Ma culture de femme Africaine et Akan en particulier est un appui sur lequel repose mon inspiration tout en gardant une touche moderne et éthique de mode internationale. « Le large, le gros »est la tendance des bijoux sur la scène de la mode en ce moment. Ce qui concorde parfaitement avec l’héritage et le style de notre culture Africaine. Nous nous sommes engagés sur cette voie en restant très mode avec une touche de classe. Ce qui n’exclue pas que notre collection comprend des éléments pour tous les goûts : des bijoux plus petits en or par exemple. Il faut de tout pour faire un monde. Notre travail est de satisfaire chacune de ces belles femmes pour lesquelles nous avons opté de nous lancer dans cet arène. Nos pièces sont uniques. Ce qui m’encourage le plus c’est l’appréciation du produit Maye pas seulement aux Etats Unis mais aussi dans le reste du monde. Merci à tous et à mon créateur… Nos clients sont diversifiés. Aux états –unis en particulier, j’évolue dans le milieu de célébrités (show télévisés, stars de cinéma, chanteurs etc).Nous avons parés de nos accessoires Dondria, chanteuse de R&B, les sœurs Mary-Mary, Y’anna Crawley, Jessica Reedy des chanteuses de gospel par exemple…Avec la collaboration de J.Bolin Styliste des stars, Nicole Haris Parker, actrice. Pour les shows télévisés comme le Monique show, le Lexi show. Avec la chaine Américaine BET.., le concours Américaine de Gospel, Sunday Best avec Kirk Franklin et le Dove Awards. Ce qui nous fait le plus plaisir c’est notre dernière collaboration avec James Fortune star du Gospel américain et son épouse Cheryl. Si je peux arrêter sur ce ! Que de bénédictions…
D-N : On peut donc dire que MARYSE FASHION se porte bien ?
Maye : Nous sommes au travail et le plus important est de faire ce qu’on aime et de persévérer. Nos articles sont « design » pour chaque occasion et clientes en particulier selon leur demande. Soyez tranquilles mesdames, personne d’autre n’aura le même accessoire que Maye aura créé spécialement pour vous. Une ligne unique, pour femme élégante et stylée !
D-N : Le 08 mars est la journée internationale dédiée à la femme , qu’attendez-vous de cette journée ?
Maye : Une journée honorifique, journée sacrée. Selon moi c’est quelque chose d’une grande importance. Je crois que c’est une manière de montrer au monde que nous, les femmes existons et mettre l’accent sur notre importance dans la société humaine. Ne dit-on pas que « derrière un grand homme il y a une grande dame » la femme. Je dirai que dernière le monde il y a les femmes. Celles autour de qui tout tourne, qui supportent tout dans un foyer, c’est donc normal qu’elles soient honorées et célébrées mondialement une fois au moins.
D-N : Que pensez-vous
de la violence sous toutes ses formes faites aux femmes ?
Maye : Moi je dis Non, No, No, No à la violence sous toutes ses formes. Et je bannis de mon existence et de mon langage toute violence à l’encontre des femmes. Selon mes origines Ivoirienne et mon héritage Akan, la femme est le centre de sa famille et de son foyer. Elle est signe de création après Dieu également. Donc très précieuse à Dieu et à la communauté. Il existe dans ces sociétés ce qu’on appelle «matriarcat », qui trace la descendance de tout être de Dieu et de sa mère. Alors, allez – y comprendre quelque chose à ces hommes ou ces sociétés traditionnelles et même modernes qui bafouent les droits naturels voir la dignité de la femme, à la «rouler dans la boue » ou lui faire subir toutes sortes d’humiliations . Malédiction à celui qui porte main sur sa mère. On n’a pas besoin d’être africain pour le savoir. La loi de la nature s’applique à tout être vivant sur notre planète. Aux Etats Unis, la femme est d’une telle importance que la loi américaine la protège et la traite avec égalité et il n’y a pas de différence avec le sexe opposé. Pouvons-nous suivre cet exemple ? Un autre débat à ouvrir.
D-N : En tant que femme qu’est- ce que vous n’aimeriez pas qu’on vous fasse ?
Maye : Je n’aimerais pas que mon homme me marche » dessus » ou être traitée comme une « moins que rien » parce que je suis qualifiée de « sexe faible » Qualification que je n’adore certainement pas. En couple, en partenariat ou à quelque niveau que ce soit, le respect mutuel et la considération doivent primer. Certain diront que mon attitude ici met en exergue le fait que tout tourne autour de la femme. Est-elle le « centre de la terre » ? Je dis : « pourquoi pas » ? Réalité oblige.
D-N : Que pensez-vous de l’émancipation de la femme et de l’entreprenariat au féminin à ce millénium ?
Maye : La femme était au commencement de l’histoire et est l’avenir de ce monde. Elle est présente dans toutes les activités. La femme à l’instinct naturel de se lever très tôt le matin pour aller vendre, vaquer à ses occupations pour subvenir aux besoins de son foyer et de sa famille… Les femmes Africaines, selon moi, sont entreprenantes de naissance et de culture.. Il faudrait seulement que leurs actions soient soutenues et encouragées, elles jouent un rôle important dans le développement de notre belle Afrique. Je me souviens que ma grand-mère a été l’une des premières femmes entreprenante et à avoir eu un magasin de pagne au marché de Treichville (Abidjan). Il y a donc cette image de femmes entrepreneuses qui montrent leur détermination et leur capacité de réaliser quelque chose à tous les niveaux . Une chose est de savoir ce qu’on veut faire et être encouragé pour y arriver.
Il faut mettre les structures en place, localement, pour une aide mieux organisée .Mais aujourd’hui, nous, femme sommes à la tête de tout et dans tous les secteurs. Je ne commencerais même pas à citer des exemples. La liste sera tellement longue… on ne finira jamais.
D-N : Quel est le message que vous pouvez laisser aux femmes du monde entier qui vont vous lire ?
Maye : Je voudrais humblement inciter les femmes surtout de la Diaspora à se concentrer et ne pas abandonner leurs rêves, leurs ambitions. Avec beaucoup de détermination et de courage il n’est pas impossible de ne pas réussir nos projets, et impossible n’est pas FEMME ! Il faut travailler ensemble, en union, main dans la main, pour être plus fortes avec un esprit de solidarité dans toutes nos entreprises. Je tire mon chapeau à toutes ces femmes entreprenantes, rurales, modernes, … à travers le monde. L’AFRIQUE – LE MONDE A BESOIN ET COMPTE SUR NOUS .Nous somme le cœur de l’humanité et nous savons toutes le faire valoir. Vive la femme !
D-N : Êtes-vous un cœur à prendre ?
Maye : Rires…. Non, Pas du tout …Je suis aux enchères ou quoi ?
D-N : Avez-vous des projets pour l’Afrique ?
Maye : Oui je me prépare pour la présentation de nos produits en Afrique. Charité bien ordonnée commençant par soi-même, dans un premier temps, à Abidjan ma capitale adorée. Ensuite d’autres pays d’Afrique et d ’Europe. Mais la communication sera faite en temps opportun. Nous sommes au travail et ça sera donc très bientôt. Nous prenons notre temps vu notre amour pour un travail professionnaliste et une bonne organisation.
D-N : Au terme de cet entretien quel est votre dernier message ?
Maye : Je voudrais remercier la direction et l’équipe de Diasporas-news pour ce que vous faites pour la diaspora Africaine dans le monde. Votre travail contribue aussi à la promotion de la femme, parce que vous révélez tout haut au monde entier ce que nous faisons tout bas. Prospérité, bonheur et succès à l’ occasion de cette journée mondiale de la femme à toutes les femmes de votre équipe. Merci de votre travail d’expertes qui fait vivre pleinement ce Magazine.
Entretien réalisé RENE KOUAME (Italie).
* Photos par Markiss Moseley pour Envisions Photography
* Maquillage par Tamysha Tyson
Encadré :
Pour se procurer les produits Maye For Maryse, contactez- nous sur Facebook : Maye For Maryse Fashions and Accessories *All rights reserved*
Et aussi sur notre site : www.mayeformaryse.com