L’armée kényane a déclaré mercredi avoir renforcé ses positions dans le sud de la Somalie en vue de nouvelles attaques contre les shebab liés à Al-Qaïda, dont une ville tenue par les insurgés islamistes somaliens. La principale base avancée des opérations militaires kényanes se trouve à Qoqani, à quelque 100 kilomètres de la frontière somalo-kényane, alors que les troupes de Nairobi se préparent à faire mouvement pour prendre d’Afmadow, à quelques dizaines de kilomètres plus à l’est en territoire somalien, où les troupes du gouvernement de Mogadiscio sont déjà engagées dans des combats.
« Des éléments des forces gouvernementales sont à Afmadow et nous travaillons main dans la main avec elles pour recueillir des informations sur cette ville », a dit le porte-parole de l’armée kenyane, le commandant Emmanuel Chirchir.
« Des éléments des forces gouvernementales sont à Afmadow et nous travaillons main dans la main avec elles pour recueillir des informations sur cette ville », a dit le porte-parole de l’armée kenyane, le commandant Emmanuel Chirchir.
« Nos forces sont prêtes à mener cette bataille jusqu’à son terme », a-t-il dit au quatrième jour de l’entrée de soldats kényans en Somalie pour y combattre les insurgés somalistes somaliens accusés par Nairobi d’être derrière une récentes série d’enlèvements d’occidentales dans l’est du Kenya.
Selon des témoins, d’intenses bombardements aériens ont frappé des positions des shebab avant que les troupes somaliennes soutenues par le Kenya se mettent en marche pour les en déloger.
« Nous avions sont impliqués dans les opérations militaires », a expliqué le porte-parole militaire kényan, qui a ajouté que son pays « coopère » avec les forces du gouvernement somalien et les milices qui lui sont alliées.
Des officiels ont déclaré que les seules pertes kényanes étaient dues à la chute d’un hélicoptère militaire en territoire kenyan, apparemment à cause d’ennuis mécaniques.
Selon des témoins, d’intenses bombardements aériens ont frappé des positions des shebab avant que les troupes somaliennes soutenues par le Kenya se mettent en marche pour les en déloger.
« Nous avions sont impliqués dans les opérations militaires », a expliqué le porte-parole militaire kényan, qui a ajouté que son pays « coopère » avec les forces du gouvernement somalien et les milices qui lui sont alliées.
Des officiels ont déclaré que les seules pertes kényanes étaient dues à la chute d’un hélicoptère militaire en territoire kenyan, apparemment à cause d’ennuis mécaniques.
En terme de pertes, la première phase de l’attaque a vu la mort de 73 shebab, alors que de notre côté les seules pertes humaines jusqu’à présent selon la chute d’un hélicoptère qui a entrainé la mort de cinq militaires kenyans », a précisé le commandant Chirchir.
Cependant, une source au sein de la police dans la ville frontalière de Garissa a déclaré qu’il y avait eu des morts et des blessés dans les rangs de l’armée kényane.
Cette source n’a pas fourni d’autres détails et l’AFP n’a pas vérifier ces informations de manière indépendante.
Cependant, une source au sein de la police dans la ville frontalière de Garissa a déclaré qu’il y avait eu des morts et des blessés dans les rangs de l’armée kényane.
Cette source n’a pas fourni d’autres détails et l’AFP n’a pas vérifier ces informations de manière indépendante.
Diasporas-News — AFP