
Il n’a pas précisé la nature et la date du contact qu’il a eu avec les ravisseurs.
"Je dirai que les négociations se poursuivent. C’est déjà bon signe", a-t-il répondu à une question sur les tractations pour l’élargissement des otages.
Ces quatre hommes avaient été enlevés avec trois autres personnes le 16 septembre 2010 à Arlit, un site d’extraction d’uranium du nord du Niger : au total un cadre du groupe nucléaire français Areva et son épouse, tous deux Français, et cinq employés (trois Français, un Togolais et un Malgache) de son sous-traitant Satom.
Le 24 février, la Française, le Togolais et le Malgache avaient été relâchés.
Diasporas-News — AFP