Les régions concernées sont toutes arrosées par le fleuve Congo.
Un précédent bilan donné mardi par le ministère de la Santé, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et le Fonds des nations unies pour l’enfance (Unicef) faisait état de 75 décès sur 1.268 cas.
Aucune source du ministère de la Santé n’était disponible vendredi pour confirmer le nouveau bilan.
Selon MSF, l’épidémie partie en mars de Kisangani (Province orientale), dans le nord-est, s?est étendue à deux autres provinces de l’ouest (Bandundu et Equateur) et a déjà atteint la périphérie de Kinshasa, où les premiers cas ont été recensés le 20 juin.
"Si l?épidémie venait à s?étendre à Kinshasa, dont le port assiste quotidiennement à des milliers de mouvements en amont et en aval du fleuve, les conséquences pour la population de la capitale seraient désastreuses", déclare Luis Encinas, coordinateur des opérations de MSF, cité dans le communiqué.
"C?est pourquoi il est essentiel de mettre en place immédiatement d?importantes mesures de prévention, d?accentuer le dépistage, de contrôler la transmission et de traiter les personnes touchées par la maladie", ajoute-t-il.
L’ONG, qui travaille en coordination avec le ministère de la Santé, indique avoir ouvert plusieurs centres de traitement du choléra (CTC).
"Toutes les conditions sont réunies pour que l?épidémie explose, c?est extrêmement préoccupant", souligne Laurence Sailly, coordinatrice médicale adjointe de MSF en RDC, également citée dans le communiqué.
Selon MSF, l?épidémie de choléra vient s?ajouter aux nombreuses autres urgences médicales qui frappent la population congolaise, dans un pays où le système de santé est dévasté, notamment une épidémie de rougeole qui affecte plusieurs provinces du pays.
Le choléra, infection intestinale hautement contagieuse, est mortel faute de traitement.
Un précédent bilan donné mardi par le ministère de la Santé, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et le Fonds des nations unies pour l’enfance (Unicef) faisait état de 75 décès sur 1.268 cas.
Aucune source du ministère de la Santé n’était disponible vendredi pour confirmer le nouveau bilan.
Selon MSF, l’épidémie partie en mars de Kisangani (Province orientale), dans le nord-est, s?est étendue à deux autres provinces de l’ouest (Bandundu et Equateur) et a déjà atteint la périphérie de Kinshasa, où les premiers cas ont été recensés le 20 juin.
"Si l?épidémie venait à s?étendre à Kinshasa, dont le port assiste quotidiennement à des milliers de mouvements en amont et en aval du fleuve, les conséquences pour la population de la capitale seraient désastreuses", déclare Luis Encinas, coordinateur des opérations de MSF, cité dans le communiqué.
"C?est pourquoi il est essentiel de mettre en place immédiatement d?importantes mesures de prévention, d?accentuer le dépistage, de contrôler la transmission et de traiter les personnes touchées par la maladie", ajoute-t-il.
L’ONG, qui travaille en coordination avec le ministère de la Santé, indique avoir ouvert plusieurs centres de traitement du choléra (CTC).
"Toutes les conditions sont réunies pour que l?épidémie explose, c?est extrêmement préoccupant", souligne Laurence Sailly, coordinatrice médicale adjointe de MSF en RDC, également citée dans le communiqué.
Selon MSF, l?épidémie de choléra vient s?ajouter aux nombreuses autres urgences médicales qui frappent la population congolaise, dans un pays où le système de santé est dévasté, notamment une épidémie de rougeole qui affecte plusieurs provinces du pays.
Le choléra, infection intestinale hautement contagieuse, est mortel faute de traitement.
Diasporas-News — AFP