Le parti de l’opposant congolais Etienne Tshisekedi a démenti mardi les accusations lui imputant l’agression à Paris du président du Sénat de la République démocratique du Congo, Léon Kengo wa Dondo. « C’est une accusation fausse, totalement fausse », a déclaré à la presse Jacquemain Shabani, secrétaire général de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) d’Etienne Tshisekedi, arrivé second de la présidentielle du 28 novembre avec 32,33% des voix.
« Toute violence est à condamner. Nous sommes un parti non violent. Nous avons toujours condamné les actes de violence », a-t-il ajouté, soulignant que l’UDPS a condamné l’agression avec la « plus forte énergie ».
Léon Kengo a été attaqué dans la rue samedi à Paris à son arrivée de Bruxelles dans le cadre d’une visite privée non signalée aux autorités françaises, qui n’avaient pas pris de mesures particulières de sécurité.
Le gouvernement de la RDC a accusé des partisans du leader de l’UDPS de l’avoir attaqué pour le punir de n’avoir pas retiré sa candidature au profit d’Etienne Tshisekedi et d’avoir assisté le 20 décembre à l’investiture du président réélu Joseph Kabila (48,95%).
L’Union des forces du changement (UFC), le parti de Léon Kengo, a pour sa part mis en cause des « combattants d’un courant de l’opposition politique congolaise qui se complait dans un extrémisme improductif ».Les « combattants » est le surnom donné aux militants de l’UDPS.
« Au niveau de la diaspora congolaise, il y a des groupuscules qu’on appelle +combattants+ qui ne sont pas des membres du parti », a expliqué Jacquemain Shabani.
Léon Kengo est arrivé quatrième à la présidentielle, avec 4,95% des suffrages. Il avait réclamé l’annulation de la présidentielle avec deux autres petits candidats, jugeant le processus entaché d’irrégularités.
« Toute violence est à condamner. Nous sommes un parti non violent. Nous avons toujours condamné les actes de violence », a-t-il ajouté, soulignant que l’UDPS a condamné l’agression avec la « plus forte énergie ».
Léon Kengo a été attaqué dans la rue samedi à Paris à son arrivée de Bruxelles dans le cadre d’une visite privée non signalée aux autorités françaises, qui n’avaient pas pris de mesures particulières de sécurité.
Le gouvernement de la RDC a accusé des partisans du leader de l’UDPS de l’avoir attaqué pour le punir de n’avoir pas retiré sa candidature au profit d’Etienne Tshisekedi et d’avoir assisté le 20 décembre à l’investiture du président réélu Joseph Kabila (48,95%).
L’Union des forces du changement (UFC), le parti de Léon Kengo, a pour sa part mis en cause des « combattants d’un courant de l’opposition politique congolaise qui se complait dans un extrémisme improductif ».Les « combattants » est le surnom donné aux militants de l’UDPS.
« Au niveau de la diaspora congolaise, il y a des groupuscules qu’on appelle +combattants+ qui ne sont pas des membres du parti », a expliqué Jacquemain Shabani.
Léon Kengo est arrivé quatrième à la présidentielle, avec 4,95% des suffrages. Il avait réclamé l’annulation de la présidentielle avec deux autres petits candidats, jugeant le processus entaché d’irrégularités.
AFP