L’ancien ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner a visité mardi à Conakry le chantier d’un centre médical pour mères et enfants, selon lui d’un coût de près de 500.000 euros financé par des entreprises françaises, a constaté un journaliste de l’AFP. « Je suis content d’être ici, sur ce site dans le quartier Coronthie (centre-ville, ndlr) pour évaluer l’état d’avancement des travaux du centre-médico chirurgical mère et enfant que nous allons offrir à la population guinéenne », a déclaré à la presse M. Kouchner à l’issue de la visite.
« Ce n’est pas moi qui l’offre, j’en suis simplement l’initiateur. Le financement d’environ 500.000 euros est une collecte d’entreprises françaises, dont CFAO, Total », a-t-il ajouté, en présence du ministre guinéen de la Santé, Naman Keïta, et de l’ambassadeur de France à Conakry, Jean Graebling.
Les travaux de construction, lancés en septembre 2011, étaient à l’arrêt depuis plusieurs semaines sur ce site situé au bord de la mer, dans un des quartiers les plus pauvres de la capitale. Des entrepreneurs ont indiqué que la suspension était liée à des problèmes de logistique.
Le centre, qui « va recevoir des femmes en état de famille (enceintes), des bébés et des enfants en bas âge », doit être terminé « en juillet 2012 », a précisé l’ancien ministre, qui devait quitter Conakry mardi soir.
La date d’arrivée de M. Kouchner dans le pays n’a pas été indiquée.
« Je suis en Guinée au moins une fois tous les deux mois pour voir mon ami (le président) Alpha Condé et pour suivre les travaux de mon chantier », a-t-il précisé à l’AFP.
M. Condé, ex-opposant historique élu en 2010, et M. Kouchner sont réputés amis de longue date. Ils ont étudié dans le même lycée parisien il y a cinq décennies.
En décembre, un média français avait évoqué des activités en Guinée de Bernard Kouchner comme « consultant » et conseiller occulte d’Alpha Condé, notamment en matière de santé.
Interrogé à Conakry sur ses autres projets ou activités en Guinée, M. Kouchner a répondu, sans plus de détails: « Je n’ai pas d’autres projets pour le moment en Guinée, ni aucune autre activité. »
« Ce n’est pas moi qui l’offre, j’en suis simplement l’initiateur. Le financement d’environ 500.000 euros est une collecte d’entreprises françaises, dont CFAO, Total », a-t-il ajouté, en présence du ministre guinéen de la Santé, Naman Keïta, et de l’ambassadeur de France à Conakry, Jean Graebling.
Les travaux de construction, lancés en septembre 2011, étaient à l’arrêt depuis plusieurs semaines sur ce site situé au bord de la mer, dans un des quartiers les plus pauvres de la capitale. Des entrepreneurs ont indiqué que la suspension était liée à des problèmes de logistique.
Le centre, qui « va recevoir des femmes en état de famille (enceintes), des bébés et des enfants en bas âge », doit être terminé « en juillet 2012 », a précisé l’ancien ministre, qui devait quitter Conakry mardi soir.
La date d’arrivée de M. Kouchner dans le pays n’a pas été indiquée.
« Je suis en Guinée au moins une fois tous les deux mois pour voir mon ami (le président) Alpha Condé et pour suivre les travaux de mon chantier », a-t-il précisé à l’AFP.
M. Condé, ex-opposant historique élu en 2010, et M. Kouchner sont réputés amis de longue date. Ils ont étudié dans le même lycée parisien il y a cinq décennies.
En décembre, un média français avait évoqué des activités en Guinée de Bernard Kouchner comme « consultant » et conseiller occulte d’Alpha Condé, notamment en matière de santé.
Interrogé à Conakry sur ses autres projets ou activités en Guinée, M. Kouchner a répondu, sans plus de détails: « Je n’ai pas d’autres projets pour le moment en Guinée, ni aucune autre activité. »
AFP