
Une personne était portée disparue jeudi, deux jours après l’effondrement du toit d’un centre commercial en construction près de Durban (est) qui a fait un mort et 29 blessés graves, a indiqué la police sud-africaine.
« Nous n’excluons pas qu’il y ait eu d’autres personnes sur place, mais une seule entreprise nous a dit qu’il lui manquait un employé », a indiqué la porte-parole de la police locale, Mandy Govender.
Après l’effondrement du toit du centre commercial en construction mardi à Tongaat, dans la grande banlieue nord de Durban, les secours avaient d’abord estimé qu’une cinquantaine de personnes étaient sans doute restées coincées sous les décombres, avant de réduire ce nombre à une trentaine, puis de reconnaître qu’ils n’en savaient rien.
Les recherches, interrompues mercredi, ont repris jeudi, et un policier a indiqué à l’agence sud-africaine Sapa que ses chiens avait senti quelque chose dans l’après-midi.
« Mais ça vient de dessous la dalle (de béton qui s’est effondrée). Peut-être à 20 mètres. Nous ne savons pas, mais nous allons devoir déblayer davantage de décombres avant de pouvoir envoyer les chiens pour voir ce que c’est », a expliqué le lieutenant Jack Haskins.
« Nous n’excluons pas qu’il y ait eu d’autres personnes sur place, mais une seule entreprise nous a dit qu’il lui manquait un employé », a indiqué la porte-parole de la police locale, Mandy Govender.
Après l’effondrement du toit du centre commercial en construction mardi à Tongaat, dans la grande banlieue nord de Durban, les secours avaient d’abord estimé qu’une cinquantaine de personnes étaient sans doute restées coincées sous les décombres, avant de réduire ce nombre à une trentaine, puis de reconnaître qu’ils n’en savaient rien.
Les recherches, interrompues mercredi, ont repris jeudi, et un policier a indiqué à l’agence sud-africaine Sapa que ses chiens avait senti quelque chose dans l’après-midi.
« Mais ça vient de dessous la dalle (de béton qui s’est effondrée). Peut-être à 20 mètres. Nous ne savons pas, mais nous allons devoir déblayer davantage de décombres avant de pouvoir envoyer les chiens pour voir ce que c’est », a expliqué le lieutenant Jack Haskins.

L’odeur pourrait venir d’un corps ou d’un objet taché de sang qui aurait pu avoir été laissé par l’une des personnes évacuées mardi, a-t-il ajouté.
Une enquête pour homicide volontaire a été ouverte, la mairie d’eThekwini (la communauté urbaine qui englobe Durban et Tongaat) accusant directement le promoteur, qui a poursuivi les travaux malgré une décision de justice lui ordonnant de les stopper pour des raisons de sécurité, alors qu’aucun plan n’avait été approuvé.
Une enquête pour homicide volontaire a été ouverte, la mairie d’eThekwini (la communauté urbaine qui englobe Durban et Tongaat) accusant directement le promoteur, qui a poursuivi les travaux malgré une décision de justice lui ordonnant de les stopper pour des raisons de sécurité, alors qu’aucun plan n’avait été approuvé.