
La direction palestinienne était pressée jeudi de saisir la justice internationale de la mort de Yasser Arafat après la publication d’un rapport médical confortant la thèse d’un empoisonnement, une voie semée d’obstacles politiques et juridiques.
« De la même manière qu’une commission d’enquête internationale a été formée sur le meurtre de (l’ex-Premier ministre libanais) Rafic Hariri, il doit y avoir une commission internationale pour enquêter sur le meurtre du président Arafat », a déclaré à l’AFP Wassel Abou Youssef, membre du Comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP).
« Les résultats ont montré qu’Arafat avait été empoisonné au polonium, une substance qui est détenue uniquement par des États et non des individus, ce qui signifie que le crime a été commis par un État », a-t-il souligné.
Une conférence de presse de la commission d’enquête sur la mort du dirigeant historique palestinien est en outre prévue vendredi à 10H00 (08H00 GMT) à Ramallah (Cisjordanie).
Les causes de la mort d’Arafat le 11 novembre 2004 dans un hôpital militaire français n’ont pas été élucidées, et nombre de Palestiniens soupçonnent Israël, qui a toujours nié, de l’avoir empoisonné.
« De la même manière qu’une commission d’enquête internationale a été formée sur le meurtre de (l’ex-Premier ministre libanais) Rafic Hariri, il doit y avoir une commission internationale pour enquêter sur le meurtre du président Arafat », a déclaré à l’AFP Wassel Abou Youssef, membre du Comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP).
« Les résultats ont montré qu’Arafat avait été empoisonné au polonium, une substance qui est détenue uniquement par des États et non des individus, ce qui signifie que le crime a été commis par un État », a-t-il souligné.
Une conférence de presse de la commission d’enquête sur la mort du dirigeant historique palestinien est en outre prévue vendredi à 10H00 (08H00 GMT) à Ramallah (Cisjordanie).
Les causes de la mort d’Arafat le 11 novembre 2004 dans un hôpital militaire français n’ont pas été élucidées, et nombre de Palestiniens soupçonnent Israël, qui a toujours nié, de l’avoir empoisonné.