
Les Etats-Unis ont assuré dimanche qu’ils continueraient à « maintenir les terroristes sous pression », après deux raids, l’un en Somalie, l’autre à Tripoli qui a mené à la capture d’un chef présumé d’Al-Qaïda et poussé la Libye à demander des « explications » à Washington.
Qualifiant la capture d’Abou Anas al-Libi d' »enlèvement », le gouvernement libyen a dit ne pas avoir été préalablement informé et « contacté les autorités américaines pour leur demander des explications », tout en rappelant qu’il était lié à Washington par un « partenariat stratégique ».
A l’inverse, la Somalie, où un autre raid américain a visé les islamistes shebab, a affirmé qu’elle coopérait « avec des partenaires internationaux dans la lutte contre le terrorisme ».
Sans faire référence à ces déclarations, le secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel a expliqué dans un communiqué dimanche qu’Abou Anas, recherché pour des attentats meurtriers commis en 1998, était désormais « détenu par les Etats-Unis ».
Washington, a poursuivi le patron du Pentagone, continuera à « maintenir une pression constante sur les groupes terroristes qui menacent notre peuple et nos intérêts et, si nécessaire, nous mènerons des opérations directes contre eux en conformité avec nos lois et nos valeurs ».
Qualifiant la capture d’Abou Anas al-Libi d' »enlèvement », le gouvernement libyen a dit ne pas avoir été préalablement informé et « contacté les autorités américaines pour leur demander des explications », tout en rappelant qu’il était lié à Washington par un « partenariat stratégique ».
A l’inverse, la Somalie, où un autre raid américain a visé les islamistes shebab, a affirmé qu’elle coopérait « avec des partenaires internationaux dans la lutte contre le terrorisme ».
Sans faire référence à ces déclarations, le secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel a expliqué dans un communiqué dimanche qu’Abou Anas, recherché pour des attentats meurtriers commis en 1998, était désormais « détenu par les Etats-Unis ».
Washington, a poursuivi le patron du Pentagone, continuera à « maintenir une pression constante sur les groupes terroristes qui menacent notre peuple et nos intérêts et, si nécessaire, nous mènerons des opérations directes contre eux en conformité avec nos lois et nos valeurs ».