Le champion paralympique sud-africain Oscar Pistorius a demandé le concours d’experts américains de médecine légale pour l’aider à préparer sa défense lors de son procès pour le meurtre de sa petite amie Reeva Steenkamp, qui doit s’ouvrir en mars 2014. « C’est une pratique normale de travailler avec des experts pour préparer un procès », a déclaré la porte-parole d’Oscar Pistorius Annelise Burgess, qui a confirmé à l’AFP que les experts étaient déjà arrivés en Afrique du Sud.
Pistorius doit répondre à partir du 3 mars du meurtre de Reeva Steenkamp, abattue de plusieurs coups de fusil dans la nuit de la Saint-Valentin 2013 à Pretoria.
Le champion, en liberté sous caution, n’a jamais nié le meurtre, mais affirme avoir tué son amie par méprise, en croyant tirer sur un cambrioleur entré chez lui par la fenêtre des toilettes.
Pistorius doit répondre à partir du 3 mars du meurtre de Reeva Steenkamp, abattue de plusieurs coups de fusil dans la nuit de la Saint-Valentin 2013 à Pretoria.
Le champion, en liberté sous caution, n’a jamais nié le meurtre, mais affirme avoir tué son amie par méprise, en croyant tirer sur un cambrioleur entré chez lui par la fenêtre des toilettes.
Le parquet le poursuit pour meurtre avec préméditation.
En l’absence de témoins, les constations de la police scientifique joueront probablement un rôle clé pour l’établissement de la vérité au procès.
Dès ses premières comparutions après le meurtre, Pistorius s’est entouré de ténors du barreau, qui ont déjà réussi à tailler en pièce la première enquête de police, en mettant en lumière failles et négligences, et à obtenir sa libération sous caution.
afp
En l’absence de témoins, les constations de la police scientifique joueront probablement un rôle clé pour l’établissement de la vérité au procès.
Dès ses premières comparutions après le meurtre, Pistorius s’est entouré de ténors du barreau, qui ont déjà réussi à tailler en pièce la première enquête de police, en mettant en lumière failles et négligences, et à obtenir sa libération sous caution.
afp