Le ministère américain de la Justice a inculpé mardi l’un des responsables présumés de l’attaque contre un complexe diplomatique à Benghazi, en Libye, au cours duquel quatre personnes, dont l’ambassadeur américain, avaient péri, rapportent des médias américains.
Il s’agit de la première inculpation dans le cadre de l’enquête sur cet attentat survenu le 11 septembre 2012.
Selon CNN qui cite des sources anonymes, l’inculpation vise Ahmed Khattala, l’un des dirigeants d’un groupe rebelle soupçonné d’être à l’origine de l’attaque.
Le Wall Street Journal a de son côté aussi révélé l’information, sans toutefois dire qui l’inculpation vise.
Sollicité par l’AFP, le ministère de la Justice s’est refusé à commenter ces informations, se contentant de souligner que « l’enquête était en cours ».
L’attaque avait coûté la vie à l’ambassadeur américain en Libye, Christopher Stevens, ainsi qu’à trois agents américains.
Cet attentat avait déclenché une tempête politique aux Etats-Unis, alimentée par l’opposition républicaine contre l’administration démocrate de Barack Obama, alors en pleine campagne de réélection. Le département d’Etat avait ensuite reconnu des manquements en matière de sécurité.
afp
Il s’agit de la première inculpation dans le cadre de l’enquête sur cet attentat survenu le 11 septembre 2012.
Selon CNN qui cite des sources anonymes, l’inculpation vise Ahmed Khattala, l’un des dirigeants d’un groupe rebelle soupçonné d’être à l’origine de l’attaque.
Le Wall Street Journal a de son côté aussi révélé l’information, sans toutefois dire qui l’inculpation vise.
Sollicité par l’AFP, le ministère de la Justice s’est refusé à commenter ces informations, se contentant de souligner que « l’enquête était en cours ».
L’attaque avait coûté la vie à l’ambassadeur américain en Libye, Christopher Stevens, ainsi qu’à trois agents américains.
Cet attentat avait déclenché une tempête politique aux Etats-Unis, alimentée par l’opposition républicaine contre l’administration démocrate de Barack Obama, alors en pleine campagne de réélection. Le département d’Etat avait ensuite reconnu des manquements en matière de sécurité.
afp