
L’Egypte va « réexaminer » ses relations diplomatiques avec la Syrie qui avaient été rompues le mois dernier sous la présidence de l’islamiste Mohamed Morsi, déposé depuis par l’armée, a déclaré samedi le ministre par intérim des Affaires étrangères Nabil Fahmy.
« Tout sera réexaminé », a déclaré à la presse M. Fahmy, au sujet de la décision de rompre l’ensemble des relations diplomatiques avec la Syrie prise par M. Morsi.
« Cela ne signifie pas forcément qu’elles vont reprendre », a-t-il souligné.
« Il n’y a aucune intention d’un jihad en Syrie », a-t-il ajouté, en référence aux appels à la guerre sainte en Syrie qui avaient été lancés sous la présidence de Mohamed Morsi.
M. Morsi avait annoncé mi-juin la rupture complète des relations diplomatiques avec le régime de Bachar el-Assad et l’Egypte avait ensuite fermé son ambassade à Damas.
Il a été renversé le 3 juillet par l’armée, dans la foulée de grandes manifestations contre lui.
Lors de son année au pouvoir, le gouvernement dominé par les islamistes avait appelé à plusieurs reprises au départ du président Assad.
M. Fahmy a indiqué en outre samedi qu’il était en faveur d’une solution politique au conflit en Syrie.
afp
« Tout sera réexaminé », a déclaré à la presse M. Fahmy, au sujet de la décision de rompre l’ensemble des relations diplomatiques avec la Syrie prise par M. Morsi.
« Cela ne signifie pas forcément qu’elles vont reprendre », a-t-il souligné.
« Il n’y a aucune intention d’un jihad en Syrie », a-t-il ajouté, en référence aux appels à la guerre sainte en Syrie qui avaient été lancés sous la présidence de Mohamed Morsi.
M. Morsi avait annoncé mi-juin la rupture complète des relations diplomatiques avec le régime de Bachar el-Assad et l’Egypte avait ensuite fermé son ambassade à Damas.
Il a été renversé le 3 juillet par l’armée, dans la foulée de grandes manifestations contre lui.
Lors de son année au pouvoir, le gouvernement dominé par les islamistes avait appelé à plusieurs reprises au départ du président Assad.
M. Fahmy a indiqué en outre samedi qu’il était en faveur d’une solution politique au conflit en Syrie.
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