Dans un communiqué, les associations Survie, la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme (FIDH) et la Ligue française des droits de l’homme (LDH) avaient estimé que M. Barril ne pouvait « ignorer les conséquences d?un tel accord permettant d?alimenter les crimes perpétrés au Rwanda durant cette période ».
afp