Assange a toujours assuré que les relations sexuelles qu’il avait eues avec ses deux accusatrices étaient librement consenties. Et ses partisans clament que l’Australien est victime d’un complot, en représailles à la publication par WikiLeaks en 2010 de milliers de documents confidentiels.
La conséquence de cette affaire serait que Stockholm décide à son tour d’extrader l’ancien hacker aux Etats-Unis, là où il est accusé d’espionnage. Outre Atlantique, on avait peu goûté la divulgation de ces 250.000 « câbles » qui avaient fait trembler Washington et la diplomatie mondiale.
Le HuffPost