Un sommet extraordinaire des chefs d’Etat ouest-africains s’est ouvert mardi à Abidjan sur la situation au Mali où une junte militaire a renversé le régime du président Amadou Toumani Touré, a constaté un journaliste de l’AFP. Sur invitation du chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, patron en exercice de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao, 15 Etats), sept présidents ouest-africains ont fait le déplacement d’Abidjan.
Deux représentants de la junte malienne sont aussi à Abidjan, à l’invitation du président Ouattara. « Ils seront entendus par les chefs d’Etat », a-t-on appris auprès de l’entourage de M. Ouattara.
« Nous devrons prendre d’importantes décisions à l’occasion de ce sommet qui engage l’avenir de la démocratie », a déclaré le président ivoirien, dans son discours d’ouverture.
« Il nous faudra aujourd’hui adopter une position commune sans équivoque sur la double crise politique et militaire qui secoue le Mali », a-t-il poursuivi.
« Nous devons également mettre en oeuvre des stratégies pour lutter contre les fléaux et les menaces qui fragilisent notre sous-région », a ajouté M. Ouattara.
Deux représentants de la junte malienne sont aussi à Abidjan, à l’invitation du président Ouattara. « Ils seront entendus par les chefs d’Etat », a-t-on appris auprès de l’entourage de M. Ouattara.
« Nous devrons prendre d’importantes décisions à l’occasion de ce sommet qui engage l’avenir de la démocratie », a déclaré le président ivoirien, dans son discours d’ouverture.
« Il nous faudra aujourd’hui adopter une position commune sans équivoque sur la double crise politique et militaire qui secoue le Mali », a-t-il poursuivi.
« Nous devons également mettre en oeuvre des stratégies pour lutter contre les fléaux et les menaces qui fragilisent notre sous-région », a ajouté M. Ouattara.
AFP