Les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) – dénomination de la nouvelle armée qui doit réunir les ex-belligérants – ainsi que la police et la gendarmerie ont défilé dans la matinée sur l’esplanade du palais présidentiel, a constaté un journaliste de l’AFP.
Le chef de l’Etat Alassane Ouattara a présidé la cérémonie, à laquelle assistaient le Premier ministre Guillaume Soro et de nombreux officiels.
Parmi les personnalités décorées à cette occasion figurent le chef de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci), Choi Young-jin, et les ambassadeurs français à Abidjan Jean-Marc Simon et américain Philip Carter III.
La Côte d’Ivoire sort d’une crise qui a fait au moins 3.000 morts, née du refus de l’ex-président Laurent Gbagbo de reconnaître sa défaite à l’élection de novembre 2010. Il a été arrêté le 11 avril après deux semaines de guerre par les forces pro-Ouattara, avec l’appui décisif de la France et de l’ONU.
M. Ouattara a engagé une délicate réunification entre les forces armées en place sous son rival et les combattants qui l’ont porté au pouvoir, essentiellement les hommes de la rébellion nordiste de 2002. Des ex-chefs rebelles ont été nommés à des responsabilités dans l’armée, tandis que des milliers d’éléments attendent d’être intégrés.
Dans une allocution solennelle samedi soir, le chef de l’Etat a dit "tendre la main" aux pro-Gbagbo, en particulier aux militaires encore exilés au Ghana voisin.
La célébration de l’indépendance de cette ex-colonie française a été réduite à la cérémonie de dimanche en raison du deuil national de trois jours décrété après un accident de la route qui a fait vendredi au moins 37 morts à Abidjan.
Le chef de l’Etat Alassane Ouattara a présidé la cérémonie, à laquelle assistaient le Premier ministre Guillaume Soro et de nombreux officiels.
Parmi les personnalités décorées à cette occasion figurent le chef de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci), Choi Young-jin, et les ambassadeurs français à Abidjan Jean-Marc Simon et américain Philip Carter III.
La Côte d’Ivoire sort d’une crise qui a fait au moins 3.000 morts, née du refus de l’ex-président Laurent Gbagbo de reconnaître sa défaite à l’élection de novembre 2010. Il a été arrêté le 11 avril après deux semaines de guerre par les forces pro-Ouattara, avec l’appui décisif de la France et de l’ONU.
M. Ouattara a engagé une délicate réunification entre les forces armées en place sous son rival et les combattants qui l’ont porté au pouvoir, essentiellement les hommes de la rébellion nordiste de 2002. Des ex-chefs rebelles ont été nommés à des responsabilités dans l’armée, tandis que des milliers d’éléments attendent d’être intégrés.
Dans une allocution solennelle samedi soir, le chef de l’Etat a dit "tendre la main" aux pro-Gbagbo, en particulier aux militaires encore exilés au Ghana voisin.
La célébration de l’indépendance de cette ex-colonie française a été réduite à la cérémonie de dimanche en raison du deuil national de trois jours décrété après un accident de la route qui a fait vendredi au moins 37 morts à Abidjan.
Diasporas-News – AFP