Diasporas-News : Vous lancez une opération immobilière en Côte d’Ivoire.
De quoi s’agit-il ?
Annabelle Brou Adjoa : Effectivement, il s’agit d’une opération immobilière dénommée « Cité DOUA » et qui est pilotée par la Société de développement immobilière (SDI) dont je suis la Directrice générale. Cette société a été créée au mois de juin 2012 par le groupe Net conseil en association avec des hommes d’affaires.
D-N : Quels sont les objectifs de cette entreprise ?
B.A.A : L’objectif visé par la SDI, c’est d’offrir aux ivoiriens vivants en Côte d’ Ivoire ainsi qu’à ceux de la diaspora des logements de haut standing. La Sdi est par ailleurs spécialisée dans le lotissement des terrains urbains, la gestion du patrimoine immobilier, la construction de bâtiments (villas basses, immeubles) ainsi que la vente de terrains urbains et ruraux.
D-N : De quels moyens dispose la SDI ?
B.A.A : Pour la réalisation de ce projet immobilier, la SDI a à son actif environ 200 hectares de terrains dans le district d’Abidjan et banlieues. Mais pour le premier projet dont le début des travaux est prévu pour le mois de novembre prochain, la Sdi compte bâtir sur le terrain de Djorobité dans la commune de Cocody des habitations sur une superficie de 6 hectares. Aussi, la SDI dispose-t-elle d’une trentaine d’hectares de terrain dans la commune de Bingerville.
D-N : Quelle est votre cible pour la réalisation de ce projet ?
B.A.A : Nous visons toute la population ivoirienne mais en particulier la Diaspora. Qui comme l’expérience l’a démontré a beaucoup souffert des opérateurs véreux et également des parents indélicats. Nous voulons être une interface crédible pour les ivoiriens et les africains qui vivent en occident pour leur permettre après plusieurs années de dur labeur, d’être propriétaires d’un bien mobilier.
D-N : Quel type de maison offrez-vous et quelles en sont les particularités ?
B.A.A : Ce sont des villas triplex de haut standing bâties sur une superficie de 200 m2 que nous offrirons aux acquéreurs.
D-N : Avez-vous un délai pour exécuter des travaux ?
B.A. A : Normalement les travaux de construction devraient débuter au mois de novembre prochain. A partir de cette date donc, nous donnons une durée de 18 mois maximum aux différents acquéreurs.
D-N : Plusieurs promoteurs ont annoncé pareils projets et au finish, rien n’y fait. Quelles garanties offrez-vous à vos potentiels acquéreurs ?
B.A. A : A nos potentiels clients, nous offrons la garantie solide de nos partenaires que sont la Caisse d’épargne et Net conseil. La Caisse d’épargne est la banque qui accompagne la SDI dans la réalisation de ce projet. Aussi, les clients ont-ils la possibilité de visiter en temps réel les chantiers à l’effet de s’apercevoir de l’état d’avancement des travaux.
D-N : Quelles sont les conditions d’acquisition de ces maisons qu’on soit en Côte d’Ivoire ou à l’étranger ?
B.A. A : Nous partons sur la base de la location vente. Ce qui explique que nos futurs acquéreurs devront contracter un crédit soit avec leur banque ou avec nous. Chaque acquéreur négociera donc avec sa banque la durée de son crédit. Ainsi la durée du crédit direct sera de 48 à 60 mois maximum.
D-N : Un mot à l’endroit des lecteurs de Diasporas- News.
B.A. A. : Je connais le magazine depuis à peine quelques mois mais j’avoue que ce mensuel a changé ma façon de m’informer. Déjà par sa présentation et aussi par son contenu très pertinent. J’encourage toute l’équipe à continuer et aussi à rester toujours proche de nous.
De quoi s’agit-il ?
Annabelle Brou Adjoa : Effectivement, il s’agit d’une opération immobilière dénommée « Cité DOUA » et qui est pilotée par la Société de développement immobilière (SDI) dont je suis la Directrice générale. Cette société a été créée au mois de juin 2012 par le groupe Net conseil en association avec des hommes d’affaires.
D-N : Quels sont les objectifs de cette entreprise ?
B.A.A : L’objectif visé par la SDI, c’est d’offrir aux ivoiriens vivants en Côte d’ Ivoire ainsi qu’à ceux de la diaspora des logements de haut standing. La Sdi est par ailleurs spécialisée dans le lotissement des terrains urbains, la gestion du patrimoine immobilier, la construction de bâtiments (villas basses, immeubles) ainsi que la vente de terrains urbains et ruraux.
D-N : De quels moyens dispose la SDI ?
B.A.A : Pour la réalisation de ce projet immobilier, la SDI a à son actif environ 200 hectares de terrains dans le district d’Abidjan et banlieues. Mais pour le premier projet dont le début des travaux est prévu pour le mois de novembre prochain, la Sdi compte bâtir sur le terrain de Djorobité dans la commune de Cocody des habitations sur une superficie de 6 hectares. Aussi, la SDI dispose-t-elle d’une trentaine d’hectares de terrain dans la commune de Bingerville.
D-N : Quelle est votre cible pour la réalisation de ce projet ?
B.A.A : Nous visons toute la population ivoirienne mais en particulier la Diaspora. Qui comme l’expérience l’a démontré a beaucoup souffert des opérateurs véreux et également des parents indélicats. Nous voulons être une interface crédible pour les ivoiriens et les africains qui vivent en occident pour leur permettre après plusieurs années de dur labeur, d’être propriétaires d’un bien mobilier.
D-N : Quel type de maison offrez-vous et quelles en sont les particularités ?
B.A.A : Ce sont des villas triplex de haut standing bâties sur une superficie de 200 m2 que nous offrirons aux acquéreurs.
D-N : Avez-vous un délai pour exécuter des travaux ?
B.A. A : Normalement les travaux de construction devraient débuter au mois de novembre prochain. A partir de cette date donc, nous donnons une durée de 18 mois maximum aux différents acquéreurs.
D-N : Plusieurs promoteurs ont annoncé pareils projets et au finish, rien n’y fait. Quelles garanties offrez-vous à vos potentiels acquéreurs ?
B.A. A : A nos potentiels clients, nous offrons la garantie solide de nos partenaires que sont la Caisse d’épargne et Net conseil. La Caisse d’épargne est la banque qui accompagne la SDI dans la réalisation de ce projet. Aussi, les clients ont-ils la possibilité de visiter en temps réel les chantiers à l’effet de s’apercevoir de l’état d’avancement des travaux.
D-N : Quelles sont les conditions d’acquisition de ces maisons qu’on soit en Côte d’Ivoire ou à l’étranger ?
B.A. A : Nous partons sur la base de la location vente. Ce qui explique que nos futurs acquéreurs devront contracter un crédit soit avec leur banque ou avec nous. Chaque acquéreur négociera donc avec sa banque la durée de son crédit. Ainsi la durée du crédit direct sera de 48 à 60 mois maximum.
D-N : Un mot à l’endroit des lecteurs de Diasporas- News.
B.A. A. : Je connais le magazine depuis à peine quelques mois mais j’avoue que ce mensuel a changé ma façon de m’informer. Déjà par sa présentation et aussi par son contenu très pertinent. J’encourage toute l’équipe à continuer et aussi à rester toujours proche de nous.
Hermann DJEA
