La première élection présidentielle égyptienne après la chute il y a un an de Hosni Moubarak aura lieu début juin, a indiqué un responsable cité dimanche par le quotidien Al-Masri Al-Yom. « L’élection commencera dans les premiers jours de juin et se terminera la dernière semaine de juin s’il y a un second tour », a indiqué Ahmed Chamseddine, membre de la commission électorale cité par le journal.
Le président de la commission électorale, Farouq Sultan, a indiqué dimanche au cours d’une conférence de presse que les candidats pouvaient s’enregistrer entre le 10 mars et le 8 avril.
La commission décidera d’une date pour l’élection quand elle aura mis au point un mécanisme pour les votes par correspondance, a-t-il ajouté assurant que le scrutin se tiendrait avant la fin juin.
Le mois dernier, une commission chargée de conseiller le Conseil militaire, au pouvoir depuis le départ de M. Moubarak, avait proposé la tenue de l’élection le 16 mai, soit plus tôt que prévu par les généraux.
Les militants pro-démocratie manifestent depuis des mois pour que l’élection présidentielle soit avancée et que la junte militaire quitte le pouvoir. Ils accusent le Conseil militaire de mal gérer la transition et de violer les droits de l’Homme.
L’armée a été la colonne vertébrale de la politique égyptienne depuis la chute de la monarchie en 1952 et tous les présidents jusqu’alors étaient issus de ses rangs.
Le président de la commission électorale, Farouq Sultan, a indiqué dimanche au cours d’une conférence de presse que les candidats pouvaient s’enregistrer entre le 10 mars et le 8 avril.
La commission décidera d’une date pour l’élection quand elle aura mis au point un mécanisme pour les votes par correspondance, a-t-il ajouté assurant que le scrutin se tiendrait avant la fin juin.
Le mois dernier, une commission chargée de conseiller le Conseil militaire, au pouvoir depuis le départ de M. Moubarak, avait proposé la tenue de l’élection le 16 mai, soit plus tôt que prévu par les généraux.
Les militants pro-démocratie manifestent depuis des mois pour que l’élection présidentielle soit avancée et que la junte militaire quitte le pouvoir. Ils accusent le Conseil militaire de mal gérer la transition et de violer les droits de l’Homme.
L’armée a été la colonne vertébrale de la politique égyptienne depuis la chute de la monarchie en 1952 et tous les présidents jusqu’alors étaient issus de ses rangs.
AFP