Le Tribunal militaire de Ouagadougou leur a reconnu « des circonstances atténuantes pour les faits qui leurs étaient reprochés, et a acquitté quatre autres » militaires, selon la même source.
Ce sont au total 222 militaires -dont 119 radiés- qui doivent être jugés pour «révolte, rébellion, désertion, pillage, destruction et vol qualifié» dans une série de procès débutée en novembre 2012, qui a déjà vu des militaires radiés condamnés à 5 à 6 ans de prison ferme.
De mars à juin 2011, la quasi-totalité des casernes, y compris la garde prétorienne du chef de l’Etat, s’étaient mutinées, ébranlant le régime comme jamais depuis l’arrivée au pouvoir de Blaise Compaoré par un coup d’Etat militaire en 1987.
Après la vague de mutineries qui l’avait contraint un temps a quitté la capitale, le président Blaise Compaoré avait opéré une vaste réorganisation de l’armée, nommé un nouveau chef d’état-major et un nouveau gouvernement, s’attribuant le ministère de la Défense.
afp
Ce sont au total 222 militaires -dont 119 radiés- qui doivent être jugés pour «révolte, rébellion, désertion, pillage, destruction et vol qualifié» dans une série de procès débutée en novembre 2012, qui a déjà vu des militaires radiés condamnés à 5 à 6 ans de prison ferme.
De mars à juin 2011, la quasi-totalité des casernes, y compris la garde prétorienne du chef de l’Etat, s’étaient mutinées, ébranlant le régime comme jamais depuis l’arrivée au pouvoir de Blaise Compaoré par un coup d’Etat militaire en 1987.
Après la vague de mutineries qui l’avait contraint un temps a quitté la capitale, le président Blaise Compaoré avait opéré une vaste réorganisation de l’armée, nommé un nouveau chef d’état-major et un nouveau gouvernement, s’attribuant le ministère de la Défense.
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