La Cour d’appel de Tunis a confirmé jeudi la plupart des peines dans le procès d’une trentaine de proches de l’ex-président tunisien Ben Ali, poursuivis pour tentative de fuite et possession illégale d’importantes sommes d’argent. Leïla Trabelsi, l’ex-Première dame tunisienne, et Sakhr al-Materi, le gendre préféré de Ben Ali, jugés par contumace, ont été condamnés respectivement à 6 et 4 ans de prison, peine déjà prononcée en première instance.
En revanche, Imed Trabelsi, le neveu de Leïla incarcéré en Tunisie, a vu sa peine aggravée de 2 à 6 ans de prison.
L’acquittement d’Ali Seriati, l’ex-chef de la sécurité de Ben Ali, a été confirmé, mais il fait l’objet d’autres inculpations et reste emprisonné.
Moez Trabelsi, cousin d’Imed, actuellement détenu à Rome dans l’attente d’une extradition vers la Tunisie, a été condamné à 6 ans de prison.
Au total, trente deux personnes avaient été arrêtées à l’aéroport de Tunis-Carthage alors qu’elles s’apprêtaient à quitter le pays le 14 janvier, jour de la fuite du président déchu, en possession de bijoux et de sommes importantes en devises.
C’est Leïla Trabelsi qui avait donné l’ordre à ses proches de se rassembler à l’aéroport de Tunis-Carthage pour embarquer sur un vol à destination de la France mais, selon la police, son plan avait été déjoué par la brigade anti-terroriste et le refus du pilote de les accepter à bord.
M. Seriati et les personnes condamnées en août sont incarcérés à la base militaire d’El Aouina, près de Tunis.
En revanche, Imed Trabelsi, le neveu de Leïla incarcéré en Tunisie, a vu sa peine aggravée de 2 à 6 ans de prison.
L’acquittement d’Ali Seriati, l’ex-chef de la sécurité de Ben Ali, a été confirmé, mais il fait l’objet d’autres inculpations et reste emprisonné.
Moez Trabelsi, cousin d’Imed, actuellement détenu à Rome dans l’attente d’une extradition vers la Tunisie, a été condamné à 6 ans de prison.
Au total, trente deux personnes avaient été arrêtées à l’aéroport de Tunis-Carthage alors qu’elles s’apprêtaient à quitter le pays le 14 janvier, jour de la fuite du président déchu, en possession de bijoux et de sommes importantes en devises.
C’est Leïla Trabelsi qui avait donné l’ordre à ses proches de se rassembler à l’aéroport de Tunis-Carthage pour embarquer sur un vol à destination de la France mais, selon la police, son plan avait été déjoué par la brigade anti-terroriste et le refus du pilote de les accepter à bord.
M. Seriati et les personnes condamnées en août sont incarcérés à la base militaire d’El Aouina, près de Tunis.
AFP