Mme Merkel a quitté le Nigeria jeudi soir après avoir discuté avec le président nigérian Goodluck Jonathan des moyens d’intensifier la coopération entre l’Allemagne et le plus grand producteur de pétrole d’Afrique.
Elle a également ouvert un forum d’hommes d’affaires allemands et nigérians et discuté dans leur siège d’Abuja avec les représentants de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’ouest (Cédéao).
Le Nigeria, 8e exportateur mondial de brut, envoie environ 3% de ses exportations de brut en Allemagne
Le pays possède aussi des réserves de gaz, encore inexploitées par manque d’infrastructures et espère développer sa production et surtout augmenter les exportations de gaz naturel liquéfié.
En octobre dernier, Goodluck Jonathan avait lancé une opération de séduction en direction des investisseurs étrangers pour dynamiser ce secteur.
Suite à son élection en avril dernier, le président avait fait de la production et fourniture d’électricité l’une de ses priorités, notamment par le biais de privatisations.
La chancelière allemande a été critiquée dans son pays sur l’offre faite mercredi au président angolais José Eduardo dos Santos d’"aider les efforts de défense" de l’Angola et, concrètement, de livrer des patrouilleurs allemands pour les garde-côtes angolais.
"Je ne crois pas que nous faisons là de l’armement", a estimé Mme Merkel à Luanda, citée par son service de presse en Allemagne. "Il s’agit bien plus de bateaux pour la sécurisation des frontières (…) Globalement, il s’agit d’entraîner l’Afrique à pouvoir assumer seule des missions de paix sous mandat de l’ONU. C’est dans l’intérêt de l’Europe", a argué Mme Merkel.
Une délégation d’entreprises allemandes de l’industrie, de la chimie, de l’électricité et du BTP accompagnait la chancelière qui se rendait pour la deuxième fois en Afrique depuis son élection en 2005.
Lors de sa visite à Abuja la chancelière allemande Angela Merkel a évoqué le problème de la tenue d’un sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de la zone euro en estimant qu’un tel sommet ne pourrait se tenir que lorsqu’ils seraient prêts à adopter un accord pour résoudre la crise de la dette grecque
Elle a également ouvert un forum d’hommes d’affaires allemands et nigérians et discuté dans leur siège d’Abuja avec les représentants de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’ouest (Cédéao).
Le Nigeria, 8e exportateur mondial de brut, envoie environ 3% de ses exportations de brut en Allemagne
Le pays possède aussi des réserves de gaz, encore inexploitées par manque d’infrastructures et espère développer sa production et surtout augmenter les exportations de gaz naturel liquéfié.
En octobre dernier, Goodluck Jonathan avait lancé une opération de séduction en direction des investisseurs étrangers pour dynamiser ce secteur.
Suite à son élection en avril dernier, le président avait fait de la production et fourniture d’électricité l’une de ses priorités, notamment par le biais de privatisations.
La chancelière allemande a été critiquée dans son pays sur l’offre faite mercredi au président angolais José Eduardo dos Santos d’"aider les efforts de défense" de l’Angola et, concrètement, de livrer des patrouilleurs allemands pour les garde-côtes angolais.
"Je ne crois pas que nous faisons là de l’armement", a estimé Mme Merkel à Luanda, citée par son service de presse en Allemagne. "Il s’agit bien plus de bateaux pour la sécurisation des frontières (…) Globalement, il s’agit d’entraîner l’Afrique à pouvoir assumer seule des missions de paix sous mandat de l’ONU. C’est dans l’intérêt de l’Europe", a argué Mme Merkel.
Une délégation d’entreprises allemandes de l’industrie, de la chimie, de l’électricité et du BTP accompagnait la chancelière qui se rendait pour la deuxième fois en Afrique depuis son élection en 2005.
Lors de sa visite à Abuja la chancelière allemande Angela Merkel a évoqué le problème de la tenue d’un sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de la zone euro en estimant qu’un tel sommet ne pourrait se tenir que lorsqu’ils seraient prêts à adopter un accord pour résoudre la crise de la dette grecque
Diasporas-News – AFP