Le porte-parole était interrogé sur des déclarations de Seif al-Islam Kadhafi, fils du dirigeant libyen et porte-parole officieux du régime, qui a affirmé que Tripoli menait les "véritables négociations" sur le conflit en Libye avec la France.
"La France est favorable à une solution politique comme elle l’a toujours dit. Il n’y a pas de négociations directes entre la France et le régime de Kadhafi, mais nous lui passons des messages, en liaison avec le CNT (Conseil national de transition, instance de la rébellion, NDLR) et nos alliés", a déclaré Bernard Valero.
"Ces messages sont simples et sans ambiguïté: toute solution politique passe par le retrait de Kadhafi du pouvoir et son renoncement à tout rôle politique", a-t-il ajouté.
Seif al-Islam Kadhafi a déclaré au journal algérien El Khabar que le régime de Tripoli avait des contacts directs avec le président français Nicolas Sarkozy.
"La France est favorable à une solution politique comme elle l’a toujours dit. Il n’y a pas de négociations directes entre la France et le régime de Kadhafi, mais nous lui passons des messages, en liaison avec le CNT (Conseil national de transition, instance de la rébellion, NDLR) et nos alliés", a déclaré Bernard Valero.
"Ces messages sont simples et sans ambiguïté: toute solution politique passe par le retrait de Kadhafi du pouvoir et son renoncement à tout rôle politique", a-t-il ajouté.
Seif al-Islam Kadhafi a déclaré au journal algérien El Khabar que le régime de Tripoli avait des contacts directs avec le président français Nicolas Sarkozy.
"Nous avons reçu par l?intermédiaire d?un envoyé spécial, qui a rencontré le président français (Nicolas Sarkozy), un message clair de Paris. Le président français a très franchement dit à notre émissaire que +c?est nous avons créé ce conseil (Conseil national de transition) et sans le soutien de la France, l?argent et les armes, il n?existerait pas+", a-t-il affirmé.
"Le président Sarkozy a insisté sur le fait qu’il était lui-même l’interlocuteur de Tripoli et non les rebelles", a ajouté le fils de Mouammar Kadhafi.
"Les Français nous ont informés officiellement qu’ils voulaient mettre en place un gouvernement de transition en Libye. Sarkozy a dit à un émissaire libyen: j’ai une liste et ceux-là sont les hommes de la France", a dit Seif al-Islam.
"Le président Sarkozy a insisté sur le fait qu’il était lui-même l’interlocuteur de Tripoli et non les rebelles", a ajouté le fils de Mouammar Kadhafi.
"Les Français nous ont informés officiellement qu’ils voulaient mettre en place un gouvernement de transition en Libye. Sarkozy a dit à un émissaire libyen: j’ai une liste et ceux-là sont les hommes de la France", a dit Seif al-Islam.
Diasporas-News –AFP