L’opposition congolaise étudie une candidature commune pour faire face au président sortant Joseph Kabila, qui devrait se représenter à sa succession le 28 novembre.
"Sans condition, je marque mon accord de principe sur la nécessité de cette candidature commune", a déclaré Vital Kamerhe, 51 ans, à la clôture du sommet de l’UNC. "Cela est non seulement possible mais il en va aussi de la crédibilité de l?opposition pour représenter une alternative efficace au pouvoir actuel", a-t-il ajouté.
"Néanmoins, le rassemblement de l?opposition ne doit pas être imposé ni par une seule personne, ni par un parti, ni par une association des partis fut-elle déterminante", a-t-il souligné, appelant au "compromis politique".
Pour parvenir au consensus, Vital Kamerhe plaide pour "un grand forum de l’opposition" et des négociations axées "prioritairement" sur "les stratégies à mettre en place pour doter le pays des élections libres et transparentes et sur le programme commun de gouvernement".
Il s’est par ailleurs opposé à un possible découplage des scrutins présidentiel et législatif par la Commission électorale nationale indépendante (Céni). "Je voudrais rappeler au Président de la Céni que le pouvoir de découpler les élections revient au seul Parlement", a-t-il déclaré.
Le président de la Céni Daniel Mulunda Ngoy avait évoqué vendredi un possible report des législatives après la présidentielle au lieu d’un double scrutin, les deux à un seul tour, initialement prévu le 28 novembre.
"Si les élus du peuple décident de ne pas me donner l’annexe (à la loi électorale fixant la répartition des sièges pour les législatives) avant le 10 du mois (d’août) prochain, j’annonce un nouveau calendrier, celui du découplage", avait expliqué à la presse M. Mulunda.
Selon le calendrier de la Céni, l’inscription des candidats à la présidentielle et aux législatives doit se dérouler du 4 août au 6 septembre.
"Sans condition, je marque mon accord de principe sur la nécessité de cette candidature commune", a déclaré Vital Kamerhe, 51 ans, à la clôture du sommet de l’UNC. "Cela est non seulement possible mais il en va aussi de la crédibilité de l?opposition pour représenter une alternative efficace au pouvoir actuel", a-t-il ajouté.
"Néanmoins, le rassemblement de l?opposition ne doit pas être imposé ni par une seule personne, ni par un parti, ni par une association des partis fut-elle déterminante", a-t-il souligné, appelant au "compromis politique".
Pour parvenir au consensus, Vital Kamerhe plaide pour "un grand forum de l’opposition" et des négociations axées "prioritairement" sur "les stratégies à mettre en place pour doter le pays des élections libres et transparentes et sur le programme commun de gouvernement".
Il s’est par ailleurs opposé à un possible découplage des scrutins présidentiel et législatif par la Commission électorale nationale indépendante (Céni). "Je voudrais rappeler au Président de la Céni que le pouvoir de découpler les élections revient au seul Parlement", a-t-il déclaré.
Le président de la Céni Daniel Mulunda Ngoy avait évoqué vendredi un possible report des législatives après la présidentielle au lieu d’un double scrutin, les deux à un seul tour, initialement prévu le 28 novembre.
"Si les élus du peuple décident de ne pas me donner l’annexe (à la loi électorale fixant la répartition des sièges pour les législatives) avant le 10 du mois (d’août) prochain, j’annonce un nouveau calendrier, celui du découplage", avait expliqué à la presse M. Mulunda.
Selon le calendrier de la Céni, l’inscription des candidats à la présidentielle et aux législatives doit se dérouler du 4 août au 6 septembre.
Diasporas-News — AFP
